Le Bologne
Brasserie chère au cœur des Genevois, le Bologne ne désemplit pas. Xavier Vulliez et sa brigade proposent une carte composée de cinq entrées, cinq plats principaux et autant de desserts. Les cuissons sont parfaitement maîtrisées et les assaisonnements tout autant. En salle, la sympathique, efficace et souriante équipe de sommeliers virevolte prestement entre les tables nappées de blanc et dressées avec soin, une petite décoration florale sur chacune d’elles. Plat chouchou de la maison, le risotto de céleri a fière allure avec son escalope de foie gras à la cuisson parfaite et ses lamelles de truffe noire. Elles s’accommodent très bien du légume taillé en brunoise. C’est simplement délicieux. Les tacos de poulpe à la chair parfaitement grillée ne sont pas en reste, avec ce qu’il faut de mâche pour en faire un plat abouti en compagnie d’un condiment de piquillos et d’une savoureuse sauce verte. Le plat est joyeusement coloré. Tendre et fondante, la pluma de pata negra est agrémentée de sauce teriyaki et de points de mousseline au wasabi vert pimpant. En accompagnement, la crémeuse purée de pommes est gourmande. Le filet de turbot grillé à la plancha légèrement résistant sous la dent se plaît escorté de patates douces. Une délicieuse crème au labneh et feta contrebalance la douceur du légume. Les desserts arrivent disposés sur une ancienne machine à coudre transformée en chariot: salade de fruits frais, île flottante, millefeuille, gâteau à la vanille et petits fruits (un brin hors saison), baba au limoncello. Comme ils sont tous bons – ah, ce paris-brest! – on peut aussi tous les goûter.
Brasserie chère au cœur des Genevois, le Bologne ne désemplit pas. Xavier Vulliez et sa brigade proposent une carte composée de cinq entrées, cinq plats principaux et autant de desserts. Les cuissons sont parfaitement maîtrisées et les assaisonnements tout autant. En salle, la sympathique, efficace et souriante équipe de sommeliers virevolte prestement entre les tables nappées de blanc et dressées avec soin, une petite décoration florale sur chacune d’elles. Plat chouchou de la maison, le risotto de céleri a fière allure avec son escalope de foie gras à la cuisson parfaite et ses lamelles de truffe noire. Elles s’accommodent très bien du légume taillé en brunoise. C’est simplement délicieux. Les tacos de poulpe à la chair parfaitement grillée ne sont pas en reste, avec ce qu’il faut de mâche pour en faire un plat abouti en compagnie d’un condiment de piquillos et d’une savoureuse sauce verte. Le plat est joyeusement coloré. Tendre et fondante, la pluma de pata negra est agrémentée de sauce teriyaki et de points de mousseline au wasabi vert pimpant. En accompagnement, la crémeuse purée de pommes est gourmande. Le filet de turbot grillé à la plancha légèrement résistant sous la dent se plaît escorté de patates douces. Une délicieuse crème au labneh et feta contrebalance la douceur du légume. Les desserts arrivent disposés sur une ancienne machine à coudre transformée en chariot: salade de fruits frais, île flottante, millefeuille, gâteau à la vanille et petits fruits (un brin hors saison), baba au limoncello. Comme ils sont tous bons – ah, ce paris-brest! – on peut aussi tous les goûter.