​Zurich, le 26 août 2024

 

Merveilleusement rénové, le Mandarin Oriental Savoy, Zurich est «L’Hôtel de l'année» 2025 du GaultMillau!

Après une rénovation qui a coûté 80 millions de francs, l'hôtel Savoy de Zurich a rouvert ses portes. Le plus ancien hôtel 5 étoiles de la ville, géré par le groupe Mandarin Oriental, avec ses 44 chambres, ses 36 suites, son rooftop bar unique et ses deux restaurants enthousiasmants vient d'être distingué «Hôtel de l'année» 2025 par le guide GaultMillau.

 

À Noël 1838, Johannes Baur, un jeune boulanger originaire du Vorarlberg, inaugura l'Hôtel Baur sur la prestigieuse Paradeplatz de Zurich. À l'époque, il écrivait: «J'ai l'honneur d'inviter tous les voyageurs, suisses et étrangers, à séjourner dans mon hôtel, en leur garantissant un service irréprochable des plus élégants.» En décembre 2023, le «Savoy» renaît de ses cendres. Propriété de l'UBS et exploité par le Mandarin Oriental, cet établissement perpétue la promesse faite en 1838: offrir un service d'excellence. Les 80 chambres et suites, conçues par l'architecte d'intérieur parisien Tristan Auer, marient élégance contemporaine et raffinement. Certaines sont dotées de balcons ou de terrasses spacieuses. La pièce maîtresse est sans conteste la «Suite Présidentielle» (200 m²), où le luxe moderne s'allie au charme historique.

 

«Orsini»: Antonio Guida et ses Ragazzi

Le Mandarin Oriental ne laisse rien au hasard pour cette réouverture prestigieuse. Après Munich, Dominik G. Reiner est désormais le directeur général à Zurich: «C'est un honneur pour moi de diriger le plus ancien grand hôtel de Zurich.» Le menu du restaurant phare Orsini est signé par Antonio Guida, chef deux étoiles au «Mandarin Oriental» de Milan. Le chef a envoyé son meilleur homme en Suisse: Dario Moresco. La cuisine italienne raffinée est proposée à un niveau rarement atteint en Suisse. Urs Heller, chef du GaultMillau: «Pour être nommé «Hôtel de l'année», il faut aussi nous convaincre à travers la cuisine. Dario Moresco et son sous-chef Gianmarco D'Alonzo le font brillamment, débutant leur carrière suisse avec 16/20» Points forts: Coquille Saint-Jacques norvégienne sur une crème de mozzarella di Bufala avec caviar et sauce aux huîtres. Bottoni farcis au lièvre sauvage, cailles Miéral de la Bresse. Le plat signature d'Antonio Guida est également au rendez-vous: «Risotto con lamponi» (framboises, sauge, crème aux herbes).

 

Rendez-vous à la «Brasserie Savoy»

Quel est le meilleur complément à l'ambitieux restaurant italien Orsini? La Brasserie & Bar Savoy, qui dispose d’une magnifique terrasse. Le chef exécutif Benjamin Halat, venu tout droit du célèbre «Mandarin Oriental» de Bangkok, signe ici le menu. Il a pourvu les postes clés de la cuisine avec excellence, s'approvisionnant auprès des meilleurs producteurs et rendant également hommage au savoir-faire local: même un «Émincé zurichois» figure à la carte. Le succès lui donne raison: la Brasserie Savoy a été très fréquentée dès le premier jour. Le GaultMillau lui a décerné 15 points.

 

«1838»: cocktails et snacks asiatiques au bar sur le toit

Un bar sur le toit fait partie de la tradition du «Savoy». Dès 1838, Johannes Baur accueillait ses invités dans le «Belvédère», l'un des premiers rooftop-bars du monde. Aujourd'hui, le bar élégant du septième étage s'appelle «1838». La vue sur la ville et le lac est magique, et l'offre est tentante: cocktails, mocktails, saké, rosé en magnum. À cela s'ajoutent des snacks d'inspiration asiatique à partager et à déguster: ceviche thaï, «KFC» (poulet frit à la coréenne), salade Som-Tam. La terrasse sur le toit est petite et raffinée: elle ne peut accueillir que 50 invités. Un endroit magique.

 

Informations

Ringier AG, GaultMillau, Téléphone: +41 58 269 26 10, info@gaultmillau.ch

 

Communiqué de presse

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Photos

Vue extérieure du Mandarin Oriental Savoy. Crédit: HO

Dario Moresco, chef cuisinier (à droite) et Gianmarco D'Alonzo, sous-chef Orsini. Crédit: Olivia Pulver

Directeur général, Dominik G. Reiner. Crédit: Olivia Pulver

Benjamin Halat, chef exécutif. Crédit: Olivia Pulver

Suite présidentielle. Crédit: Olivia Pulver