Mandarin Oriental Geneva
Le restaurant japonais de l’hôtel Mandarin Oriental est l’œuvre de l’architecte et designer Yoshi Kida, tout en élégance et en raffinement discret. A l’Omakase Bar, on peut assister en direct à la préparation minutieuse du menu surprise en six, huit ou dix plats. Mais il y a aussi la grande salle au plafond décoré de boiseries kumiko traditionnelles ou encore la lumineuse véranda qui donne sur le Rhône. Aux couteaux, nous trouvons Mitsuru Tsukada, transfuge de l’excellent Izumi où il avait obtenu 15/20 et élève du renommé maître Nobu Matsuhisa qui possède une soixantaine de restaurants dans le monde. Sa cuisine est inspirée, authentiquement nippone et ne renie pas quelques influences du monde comme cette coquille Saint-Jacques au foie gras, kadaïf, sauce teriyaki à la truffe ou encore ces langoustines rôties, tout simplement parfaites, servies comme des sucettes sur des brochettes. Voici les bouchées de riz crispy surmontées d'un guacamole qui forment un plaisant jeu de couleurs, de températures et de textures. Ou encore ce délicat sashimi de sériole, sauce soja yuzu, joliment présenté en rosace. La salade de pousses d'épinards, sauce miso yuzu et huile à la truffe est une merveille de goût et de fraîcheur. Elle en viendrait presque à faire oublier le succulent bœuf wagyu servi en fines lamelles avec trois sauces délicieuses. Mais c’est le somptueux black cod, sauce miso au yuzu, qui remporte tous les suffrages. Mariné au saké et au mirin, il fond en bouche. Un plat ceinture noire, magnifique aussi à l’œil. Au dessert, voici une création au carrefour de l'Italie, du Japon et de l'Ecosse qui n'est pas sans rappeler le tiramisu: café, crème brûlée, crumble au café, glace au lait, espuma de whisky Nikka. On apprécie par ailleurs le parking de l'hôtel, offert aux hôtes.
Le restaurant japonais de l’hôtel Mandarin Oriental est l’œuvre de l’architecte et designer Yoshi Kida, tout en élégance et en raffinement discret. A l’Omakase Bar, on peut assister en direct à la préparation minutieuse du menu surprise en six, huit ou dix plats. Mais il y a aussi la grande salle au plafond décoré de boiseries kumiko traditionnelles ou encore la lumineuse véranda qui donne sur le Rhône. Aux couteaux, nous trouvons Mitsuru Tsukada, transfuge de l’excellent Izumi où il avait obtenu 15/20 et élève du renommé maître Nobu Matsuhisa qui possède une soixantaine de restaurants dans le monde. Sa cuisine est inspirée, authentiquement nippone et ne renie pas quelques influences du monde comme cette coquille Saint-Jacques au foie gras, kadaïf, sauce teriyaki à la truffe ou encore ces langoustines rôties, tout simplement parfaites, servies comme des sucettes sur des brochettes. Voici les bouchées de riz crispy surmontées d'un guacamole qui forment un plaisant jeu de couleurs, de températures et de textures. Ou encore ce délicat sashimi de sériole, sauce soja yuzu, joliment présenté en rosace. La salade de pousses d'épinards, sauce miso yuzu et huile à la truffe est une merveille de goût et de fraîcheur. Elle en viendrait presque à faire oublier le succulent bœuf wagyu servi en fines lamelles avec trois sauces délicieuses. Mais c’est le somptueux black cod, sauce miso au yuzu, qui remporte tous les suffrages. Mariné au saké et au mirin, il fond en bouche. Un plat ceinture noire, magnifique aussi à l’œil. Au dessert, voici une création au carrefour de l'Italie, du Japon et de l'Ecosse qui n'est pas sans rappeler le tiramisu: café, crème brûlée, crumble au café, glace au lait, espuma de whisky Nikka. On apprécie par ailleurs le parking de l'hôtel, offert aux hôtes.