Deux pour un. Pour deux convives, le repas le moins cher n’est pas facturé. Et dans un deuxième temps, dès quatre convives, le repas du quatrième est déduit de la facture. C’est la formule qui fait le succès de Tables ouvertes depuis dix ans. Vous l’aurez compris, Tables ouvertes est un recueil de 150 restaurants répartis dans toute la Suisse romande. Il se vend 89 francs. Mais à ses détenteurs, les restaurateurs listés s’engagent à offrir un rabais substantiel: selon les deux formules évoquées plus haut, ou alors sous forme de forfaits avantageux (220 francs pour un repas avec boissons au Pont de Brent, par exemple). Et pour que la formule soit encore plus attrayante, l’un des titulaires de la publication est tiré au sort avec à la clé un repas pour deux (valeur 900 francs) à l’Hôtel de Ville de Crissier.
Signé Violier. Pour marquer ses 10 ans d’existence, le petit livre autrefois rouge passe cette année au rouge et blanc. De plus, la couverture mentionnera à côté de son titre, dans l’édition qui sort le 30 novembre, «by Brigitte Violier». Car l’élégante ex-patronne de l’Hôtel de Ville, devenue directrice artistique de la publication, est l’artisane de ce changement de graphisme et de look. Du coup, elle sera présente chez Payot pour des séances de dédicace (22 novembre à Vevey, 23 novembre à Morges, 30 novembre à Lausanne, 7 décembre à Fribourg).
Grands chefs et petites tables. Parmi les 150 restaurants répertoriés, la Maison Wenger, Anne-Sophie Pic, le Bayview de Michel Roth à Genève, Le Domaine de Châteauvieux ou encore LeCrans Hotel & Spa de Pierre Crepaud jouent le jeu. Mais à côté de ces tables de prestige, on trouve toute une série de restaurants de qualité souvent très abordables, comme la Maison Thaï à Conthey, la Fabrique Cornu à Champagne, l’Entrecôte Saint-Jean à Genève ou Le Carré à Vevey. De quoi faire chavirer tous les collectionneurs de bonnes tables!