Merci pour la soirée, Bisou!
À Plainpalais (GE), ce bar réhabilite l’image des bars de quartier.
Ce nouveau bar au nom évocateur de «Bisou» est tenu par Virginie Morillo (anciennement Sadara), artiste, cheffe, muse et surtout touche à tout. Ici, les rencontres se font autour d’un verre de vin nature par exemple. Il y a aussi les rendez-vous que l’on attend patiemment en sirotant un excellent negroni au campari accompagné d’une petite assiette apéritive: des courgettes surmontée d’un dip de ricotta. Ou, pourquoi pas, en dégustant du nougat de poulet très réussi lui-aussi. Lunettes vissées sur le nez, depuis la mini-terrasse, on admire le ballet des passants. Dans la salle du fond, le «bisous wall» réunit les écrits embrumés des clients un poil trop imbibés ou poètes peut-être. Le Bisou est un charmant mélange rétro, un foutoir vintage bien pensé, qui réhabilite l’esprit vibrant du «bar de quartier», où l’on vient s’enivrer avec des flacons helvétiques, natures surtout, et quelques quilles d’ailleurs, glanés ici et là par l’étonnante maîtresse des lieux. (Photo: Nouhad Monpays)
Ce nouveau bar au nom évocateur de «Bisou» est tenu par Virginie Morillo (anciennement Sadara), artiste, cheffe, muse et surtout touche à tout. Ici, les rencontres se font autour d’un verre de vin nature par exemple. Il y a aussi les rendez-vous que l’on attend patiemment en sirotant un excellent negroni au campari accompagné d’une petite assiette apéritive: des courgettes surmontée d’un dip de ricotta. Ou, pourquoi pas, en dégustant du nougat de poulet très réussi lui-aussi. Lunettes vissées sur le nez, depuis la mini-terrasse, on admire le ballet des passants. Dans la salle du fond, le «bisous wall» réunit les écrits embrumés des clients un poil trop imbibés ou poètes peut-être. Le Bisou est un charmant mélange rétro, un foutoir vintage bien pensé, qui réhabilite l’esprit vibrant du «bar de quartier», où l’on vient s’enivrer avec des flacons helvétiques, natures surtout, et quelques quilles d’ailleurs, glanés ici et là par l’étonnante maîtresse des lieux. (Photo: Nouhad Monpays)