Auberge des Montagnards
Nicolas Darnauguilhem, le chef de la Pinte des Mossettes (16/20), a repris un second restaurant. Une perle d’auberge traditionnelle, tout en bois, pleine de charme et d’histoire, devancée par une terrasse ensoleillée. Le tout serti dans ce pittoresque village de Gruyère. A la carte, des produits de proximité et des plats simples «comme les faisaient nos grands-mères». Sous des airs d’auberge toute simple, il y a un vrai savoir-faire hôtelier aux Montagnards. Une attention portée à chaque détail: cette authentique vaisselle de Sarreguemines d’époque XIXe, ces nappes blanches, ces jolis verres gravés qui donnent à la table un petit air de madeleine de Proust. La soupe de panais aussi arrive dans une authentique soupière en faïence d’autrefois. Comme aux Mossettes – où Nicolas Darnauguilhem vient d’agrandir son potager – la cuisine des Montagnards est truffée d’herbettes. Ainsi la terrine de cochon et sa sauce gribiche aux herbes magiques sont préparées par Anthony, le chef de l’auberge. Le savoureux agneau confit aussi, avec ses haricots blancs et son jardin de légumes, tous idéalement cuits, que le cerfeuil vient tonifier. Et c’est Maëlle Gordien qui virevolte en salle avec le sourire. Un duo gagnant pour un lieu enchanteur dans sa simple sincérité.
Nicolas Darnauguilhem, le chef de la Pinte des Mossettes (16/20), a repris un second restaurant. Une perle d’auberge traditionnelle, tout en bois, pleine de charme et d’histoire, devancée par une terrasse ensoleillée. Le tout serti dans ce pittoresque village de Gruyère. A la carte, des produits de proximité et des plats simples «comme les faisaient nos grands-mères». Sous des airs d’auberge toute simple, il y a un vrai savoir-faire hôtelier aux Montagnards. Une attention portée à chaque détail: cette authentique vaisselle de Sarreguemines d’époque XIXe, ces nappes blanches, ces jolis verres gravés qui donnent à la table un petit air de madeleine de Proust. La soupe de panais aussi arrive dans une authentique soupière en faïence d’autrefois. Comme aux Mossettes – où Nicolas Darnauguilhem vient d’agrandir son potager – la cuisine des Montagnards est truffée d’herbettes. Ainsi la terrine de cochon et sa sauce gribiche aux herbes magiques sont préparées par Anthony, le chef de l’auberge. Le savoureux agneau confit aussi, avec ses haricots blancs et son jardin de légumes, tous idéalement cuits, que le cerfeuil vient tonifier. Et c’est Maëlle Gordien qui virevolte en salle avec le sourire. Un duo gagnant pour un lieu enchanteur dans sa simple sincérité.