Beef’Ør
Pour l’apéro, le rooftop du Beef’Ør est un must en été. On y déguste un verre de vin ou un cocktail en piochant dans une petite carte de tapas (cette excellente terrine aux épices, notamment) et de plats simples. Au rez et au premier étage, c’est le premier des steakhouses lancés par Mathieu Bruno qui fait régulièrement salle comble. Notre «Découverte de l’année» au Boéchet en 2015, qui a ensuite obtenu 16/20 au Là-Haut, à Chardonne, et qui s’est vu décerner le Mérite culinaire suisse, a en effet décidé de quitter le monde de la gastronomie de haut vol pour se consacrer à valoriser plus simplement d’excellents produits. Mission accomplie avec succès puisque les Beef’Ør de Sion et de Genève s’apprêtent à accueillir leurs premiers clients. Pour ces projets, le chef s’est associé à Eris Saliu, à la tête d’une société d’importation de produits carnés. Et pas n’importe lesquels: wagyu australien et bœuf de Kobé japonais A5 mais aussi les meilleures viandes suisses figurent à la carte et sont cuits (à la perfection) au four Josper. Pour leur tenir compagnie, les meilleures frites de la ville (cuites à la graisse de bœuf), du chou-fleur à l’ail (délicieux) et un choix de sauces, dont on retiendra une excellente mousse béarnaise. La moutarde artisanale aux herbes est une bénédiction. Le pain irrésistible. Bien entendu, il y a aussi des poissons ainsi que des entrées gourmandes, comme le sashimi de saumon (un peu trop doux peut-être). Et ce sont les menus qui offrent le meilleur rapport qualité-prix. Les desserts (tiramisu maison ou originale coupe à l’olive) ne sont pas inoubliables.
Pour l’apéro, le rooftop du Beef’Ør est un must en été. On y déguste un verre de vin ou un cocktail en piochant dans une petite carte de tapas (cette excellente terrine aux épices, notamment) et de plats simples. Au rez et au premier étage, c’est le premier des steakhouses lancés par Mathieu Bruno qui fait régulièrement salle comble. Notre «Découverte de l’année» au Boéchet en 2015, qui a ensuite obtenu 16/20 au Là-Haut, à Chardonne, et qui s’est vu décerner le Mérite culinaire suisse, a en effet décidé de quitter le monde de la gastronomie de haut vol pour se consacrer à valoriser plus simplement d’excellents produits. Mission accomplie avec succès puisque les Beef’Ør de Sion et de Genève s’apprêtent à accueillir leurs premiers clients. Pour ces projets, le chef s’est associé à Eris Saliu, à la tête d’une société d’importation de produits carnés. Et pas n’importe lesquels: wagyu australien et bœuf de Kobé japonais A5 mais aussi les meilleures viandes suisses figurent à la carte et sont cuits (à la perfection) au four Josper. Pour leur tenir compagnie, les meilleures frites de la ville (cuites à la graisse de bœuf), du chou-fleur à l’ail (délicieux) et un choix de sauces, dont on retiendra une excellente mousse béarnaise. La moutarde artisanale aux herbes est une bénédiction. Le pain irrésistible. Bien entendu, il y a aussi des poissons ainsi que des entrées gourmandes, comme le sashimi de saumon (un peu trop doux peut-être). Et ce sont les menus qui offrent le meilleur rapport qualité-prix. Les desserts (tiramisu maison ou originale coupe à l’olive) ne sont pas inoubliables.