Hôtel du Cerf
Imperméable aux modes, l’affable Jean-Marc Soldati émerveille ses clients depuis l’an 2000 avec une cuisine classique où on lit en filigrane son expérience auprès des chefs Girardet et Rochat à l’Hôtel de Ville de Crissier. La technique est exemplaire, les assaisonnements sont idéaux et les généreuses assiettes du menu surprise sont aussi rassurantes que délicieuses.
La première entrée donne le ton: une fondante truite, bercée par une cuisson délicate, nage naturellement dans un beurre blanc enrichi de la plus fine brunoise imaginable. Autre poisson, le sandre du lac de Constance est assez généreusement grillé sur la peau pour évoquer dans notre esprit le croustillant et l’onctuosité d’un magret de canard. L’assiette suivante, un médaillon de homard dans un court-bouillon à la livèche, marquera durablement nos souvenirs émus tant le goût et la texture sont absolument parfaits. Les amateurs de viande ne sont pas négligés avec un tendre agneau en croûte d’herbes accompagné de son jus corsé et d’une jardinière de légumes façon années 1990. Après un chariot de fromages plantureux, les douceurs débutent par une belle construction autour du très vif agrume qu'est le calamondin et du chocolat blanc. Enfin, on termine ce beau repas par un croquant au chocolat noir adouci de caramel au beurre salé.
Imperméable aux modes, l’affable Jean-Marc Soldati émerveille ses clients depuis l’an 2000 avec une cuisine classique où on lit en filigrane son expérience auprès des chefs Girardet et Rochat à l’Hôtel de Ville de Crissier. La technique est exemplaire, les assaisonnements sont idéaux et les généreuses assiettes du menu surprise sont aussi rassurantes que délicieuses.
La première entrée donne le ton: une fondante truite, bercée par une cuisson délicate, nage naturellement dans un beurre blanc enrichi de la plus fine brunoise imaginable. Autre poisson, le sandre du lac de Constance est assez généreusement grillé sur la peau pour évoquer dans notre esprit le croustillant et l’onctuosité d’un magret de canard. L’assiette suivante, un médaillon de homard dans un court-bouillon à la livèche, marquera durablement nos souvenirs émus tant le goût et la texture sont absolument parfaits. Les amateurs de viande ne sont pas négligés avec un tendre agneau en croûte d’herbes accompagné de son jus corsé et d’une jardinière de légumes façon années 1990. Après un chariot de fromages plantureux, les douceurs débutent par une belle construction autour du très vif agrume qu'est le calamondin et du chocolat blanc. Enfin, on termine ce beau repas par un croquant au chocolat noir adouci de caramel au beurre salé.