Les Collines
La Sage, c’est un charmant petit village perché, tout au fond du val d’Hérens. C’est dans ce cadre bucolique que Maud et François-Xavier Lemploy ont choisi de s’installer il y a six ans. Et ils ont bien fait! Par beau temps, la terrasse est tout simplement irrésistible. Et la petite salle boisée est bourrée de charme. Tout comme l’accueil, souriant.
Si vous cherchez les mets traditionnels du Vieux-Pays, vous pouvez opter pour une fondue ou une assiette valaisanne. Toutefois, les épicuriens qui choisissent Les Collines le font plus volontiers pour la cuisine inventive du chef qui marie les bons produits aux saveurs plus exotiques. A l’instar de cette tartelette craquante aux petits pois, sérac de La Forclaz, artichauts et huile de sésame. Une bien gourmande proposition, mais complexe, où l’on se perd un peu, entre le petit pois, l’artichaut, la mayonnaise au fruit de la passion, le paprika fumé, les pickles d’oignon rouge et de betterave.
En revanche, les bonbons de ris de veau en croûte de panko, sublimés par une déclinaison de rhubarbe, une ribambelle de petits légumes en pickles et des chips de pommes de terre méritent une mention. On craque ensuite pour la poêlée de chanterelles nouvelles, agrémentées d’une fine compotée de tomates au citron.
En plat principal, l’épaule d’agneau aurait mérité une cuisson moins longue. La chair, un peu sèche, est rehaussée d’un exquis curry noir du Sri Lanka, mariant citron séché, cardamome et sésame noir. Quant à la poitrine de cochon, sa tendreté et son jus aux accents cajuns font littéralement frétiller les papilles. En accompagnement, légumes et chips se retrouvent avec tous les plats.
En guise de dessert printanier, la rhubarbe et la fraise sortent le grand jeu. Sur une petite salade de fraises et des spaghettis de rhubarbe trônent un rafraîchissant sorbet au céleri et à la rhubarbe ainsi qu’un granité mojito. Epoustouflant!
La Sage, c’est un charmant petit village perché, tout au fond du val d’Hérens. C’est dans ce cadre bucolique que Maud et François-Xavier Lemploy ont choisi de s’installer il y a six ans. Et ils ont bien fait! Par beau temps, la terrasse est tout simplement irrésistible. Et la petite salle boisée est bourrée de charme. Tout comme l’accueil, souriant.
Si vous cherchez les mets traditionnels du Vieux-Pays, vous pouvez opter pour une fondue ou une assiette valaisanne. Toutefois, les épicuriens qui choisissent Les Collines le font plus volontiers pour la cuisine inventive du chef qui marie les bons produits aux saveurs plus exotiques. A l’instar de cette tartelette craquante aux petits pois, sérac de La Forclaz, artichauts et huile de sésame. Une bien gourmande proposition, mais complexe, où l’on se perd un peu, entre le petit pois, l’artichaut, la mayonnaise au fruit de la passion, le paprika fumé, les pickles d’oignon rouge et de betterave.
En revanche, les bonbons de ris de veau en croûte de panko, sublimés par une déclinaison de rhubarbe, une ribambelle de petits légumes en pickles et des chips de pommes de terre méritent une mention. On craque ensuite pour la poêlée de chanterelles nouvelles, agrémentées d’une fine compotée de tomates au citron.
En plat principal, l’épaule d’agneau aurait mérité une cuisson moins longue. La chair, un peu sèche, est rehaussée d’un exquis curry noir du Sri Lanka, mariant citron séché, cardamome et sésame noir. Quant à la poitrine de cochon, sa tendreté et son jus aux accents cajuns font littéralement frétiller les papilles. En accompagnement, légumes et chips se retrouvent avec tous les plats.
En guise de dessert printanier, la rhubarbe et la fraise sortent le grand jeu. Sur une petite salade de fraises et des spaghettis de rhubarbe trônent un rafraîchissant sorbet au céleri et à la rhubarbe ainsi qu’un granité mojito. Epoustouflant!