Auberge du Pont-de-Nant
L’endroit est magique, à l’entrée d’une vaste réserve naturelle, avec vue sur le glacier des Martinets, sous les falaises tragiquement tourmentées des massifs de Morcles et des Muverans. Le beau chalet, à l’intérieur élégamment refait, est très fréquenté aussi bien par les promeneurs et randonneurs que par les amateurs de bonne cuisine, ce qui peut engendrer des attentes lors des pics d’affluence. Il n’empêche, même surchargé, le service reste souriant et aimable et la cuisine rigoureuse, précise et sans mesquinerie.
A l’image de ces délectables ris de veau rissolés à feu vif, croustillants dehors et fondants à cœur, généreusement escortés d’asperges al dente et de morilles en sauce dans un équilibre parfait. Ou du saumon mariné au combava, en tranches épaisses, relevé d’un mascarpone au wasabi, qui aurait pu être plus prononcé, et coloré d’une chips de betterave rouge.
Délicieuse aussi, l’entrecôte de bœuf, à la cuisson parfaite, est relevée d’un beurre manié à la truffe et accompagnée d’une purée de patates douces généreusement beurrée. Sur ses petits légumes printaniers al dente, le loup de mer était cuit à cœur sous sa peau bien grillée. On aurait apprécié un usage plus vigoureux du poivre de Timut dans la sauce, mais l’assiette restait dans un équilibre délicat.
Dégustés au soleil, un tiramisu à la fraise, blanc, léger et rafraîchissant comme un nuage d’été, et l’emblématique et goûteuse tarte aux myrtilles maison à la pâte fine permettent de reprendre pied dans la saison radieuse et l’environnement alpestre de l’auberge.
La carte des vins rend essentiellement hommage au travail des producteurs régionaux, qui le méritent bien et qui accompagnent fort bien le travail délicat du chef.
L’endroit est magique, à l’entrée d’une vaste réserve naturelle, avec vue sur le glacier des Martinets, sous les falaises tragiquement tourmentées des massifs de Morcles et des Muverans. Le beau chalet, à l’intérieur élégamment refait, est très fréquenté aussi bien par les promeneurs et randonneurs que par les amateurs de bonne cuisine, ce qui peut engendrer des attentes lors des pics d’affluence. Il n’empêche, même surchargé, le service reste souriant et aimable et la cuisine rigoureuse, précise et sans mesquinerie.
A l’image de ces délectables ris de veau rissolés à feu vif, croustillants dehors et fondants à cœur, généreusement escortés d’asperges al dente et de morilles en sauce dans un équilibre parfait. Ou du saumon mariné au combava, en tranches épaisses, relevé d’un mascarpone au wasabi, qui aurait pu être plus prononcé, et coloré d’une chips de betterave rouge.
Délicieuse aussi, l’entrecôte de bœuf, à la cuisson parfaite, est relevée d’un beurre manié à la truffe et accompagnée d’une purée de patates douces généreusement beurrée. Sur ses petits légumes printaniers al dente, le loup de mer était cuit à cœur sous sa peau bien grillée. On aurait apprécié un usage plus vigoureux du poivre de Timut dans la sauce, mais l’assiette restait dans un équilibre délicat.
Dégustés au soleil, un tiramisu à la fraise, blanc, léger et rafraîchissant comme un nuage d’été, et l’emblématique et goûteuse tarte aux myrtilles maison à la pâte fine permettent de reprendre pied dans la saison radieuse et l’environnement alpestre de l’auberge.
La carte des vins rend essentiellement hommage au travail des producteurs régionaux, qui le méritent bien et qui accompagnent fort bien le travail délicat du chef.