Café du Mont-Blanc
On croise souvent des célébrités et des notables dans ce mini-resto de village au charme simple et convivial. Aux commandes, David Grappe, le chef, garde la même passion au fil des ans. Et son maître d’hôtel, Christophe Derosier, a l’œil à tout. La carte est saisonnière et gourmande. Mais il ne faut pas hésiter à se laisser guider par le chef qui concoctera alors un petit menu dont il a le secret. Pas de crainte: ici les tarifs sont raisonnables. Et le rapport qualité-prix-plaisir garanti. En amuse-bouche, le tartare d’avocat et crevettes est un modèle de fraîcheur. Puis, c’est nappé d’un intense jus de veau tout en gourmandise qu’arrive le cromesquis de pied de porc en délicieuse panure. Il fond en bouche. Mais ce sont les Saint-Jacques à la cuisson absolument idéale qui remportent tous les suffrages. Elles sont généreusement garnies d’une émulsion de vin jaune au corail. Une sauce d’une intensité renversante. Quelle volupté! Une fine duxelles d'échalotes et de légumes apporte un délicat croquant à ce plat. On poursuit avec le cabillaud skrei de Norvège. Il est lui aussi nacré, cuit avec doigté et gracieusement entouré de poireaux en rondelles croquantes et en mousse vert intense. Quelques mini-fleurs blanches apportent une note printanière à cet élégant dressage que rehausse une huile d’olive exquise. Pour terminer, un aérien et gourmand sabayon au lait d'amandes est assorti de son sorbet: c’est frais et délicat. En dernière bouchée, un financier mi-cuit à la pistache accompagne le café. Belle carte des vins et jolis crus au verre.
On croise souvent des célébrités et des notables dans ce mini-resto de village au charme simple et convivial. Aux commandes, David Grappe, le chef, garde la même passion au fil des ans. Et son maître d’hôtel, Christophe Derosier, a l’œil à tout. La carte est saisonnière et gourmande. Mais il ne faut pas hésiter à se laisser guider par le chef qui concoctera alors un petit menu dont il a le secret. Pas de crainte: ici les tarifs sont raisonnables. Et le rapport qualité-prix-plaisir garanti. En amuse-bouche, le tartare d’avocat et crevettes est un modèle de fraîcheur. Puis, c’est nappé d’un intense jus de veau tout en gourmandise qu’arrive le cromesquis de pied de porc en délicieuse panure. Il fond en bouche. Mais ce sont les Saint-Jacques à la cuisson absolument idéale qui remportent tous les suffrages. Elles sont généreusement garnies d’une émulsion de vin jaune au corail. Une sauce d’une intensité renversante. Quelle volupté! Une fine duxelles d'échalotes et de légumes apporte un délicat croquant à ce plat. On poursuit avec le cabillaud skrei de Norvège. Il est lui aussi nacré, cuit avec doigté et gracieusement entouré de poireaux en rondelles croquantes et en mousse vert intense. Quelques mini-fleurs blanches apportent une note printanière à cet élégant dressage que rehausse une huile d’olive exquise. Pour terminer, un aérien et gourmand sabayon au lait d'amandes est assorti de son sorbet: c’est frais et délicat. En dernière bouchée, un financier mi-cuit à la pistache accompagne le café. Belle carte des vins et jolis crus au verre.