Café Paradiso
Au bout de la place du Marché, ce Paradiso-là porte bien son nom: cadre rustique et chaleureux, ambiance bistrot, accueil souriant et carte alléchante présentée sur une ardoise annoncent une belle gastronomie décomplexée.
Au Paradiso, tous les mets sont à partager et arrivent dans le désordre (sauf les desserts bien sûr), au gré de leur préparation. Les assiettes colorées s’enchaînent à un rythme (presque trop) soutenu dans une véritable farandole de textures, de saveurs et de goûts originaux. Car si la cuisine de Virginie Tinembart est décomplexée, elle n’en est pas simple pour autant. La cheffe fait la part belle aux produits frais, qu’elle se procure exclusivement dans la région et sublime dans des préparations qui s’inspirent largement des cuisines du monde.
Prenez cette salade d’herbes sauvages simplement assaisonnée au vinaigre de noix et agrémentée d’un œuf poché et d’un sablé au parmesan qui craque sous la dent. Puis le velouté de pommes de terre au lait de coco, aérien et légèrement pimenté, que sublime une mousse de truite fumée au goût équilibré. On monte en puissance avec cet exquis tartare de bœuf à la coréenne, bien relevé par des poires fermentées. Extraordinaires aussi ces pakoras (beignets indiens) de salicornes aux épices, cette caillette (sorte de pâté ardéchois à base de porc) fondante aux herbes sauvages magnifiées par un vigoureux yaourt au citron ou encore ces gnocchis à l'ail des ours nappés d’une puissante (quoiqu’un peu roborative) sauce au gorgonzola.
La sélection de fromages, tout comme le pain, joue la carte de l’ultra-local, avec efficacité. Quant aux desserts, en choix restreint, ils sont à l’image du reste: subtils et généreux, comme cette onctueuse crème brûlée à l’aspérule odorante.
Comme le menu, la carte des vins, majoritairement nature, se décline sur une ardoise et sont conseillés avec enthousiasme.
Au bout de la place du Marché, ce Paradiso-là porte bien son nom: cadre rustique et chaleureux, ambiance bistrot, accueil souriant et carte alléchante présentée sur une ardoise annoncent une belle gastronomie décomplexée.
Au Paradiso, tous les mets sont à partager et arrivent dans le désordre (sauf les desserts bien sûr), au gré de leur préparation. Les assiettes colorées s’enchaînent à un rythme (presque trop) soutenu dans une véritable farandole de textures, de saveurs et de goûts originaux. Car si la cuisine de Virginie Tinembart est décomplexée, elle n’en est pas simple pour autant. La cheffe fait la part belle aux produits frais, qu’elle se procure exclusivement dans la région et sublime dans des préparations qui s’inspirent largement des cuisines du monde.
Prenez cette salade d’herbes sauvages simplement assaisonnée au vinaigre de noix et agrémentée d’un œuf poché et d’un sablé au parmesan qui craque sous la dent. Puis le velouté de pommes de terre au lait de coco, aérien et légèrement pimenté, que sublime une mousse de truite fumée au goût équilibré. On monte en puissance avec cet exquis tartare de bœuf à la coréenne, bien relevé par des poires fermentées. Extraordinaires aussi ces pakoras (beignets indiens) de salicornes aux épices, cette caillette (sorte de pâté ardéchois à base de porc) fondante aux herbes sauvages magnifiées par un vigoureux yaourt au citron ou encore ces gnocchis à l'ail des ours nappés d’une puissante (quoiqu’un peu roborative) sauce au gorgonzola.
La sélection de fromages, tout comme le pain, joue la carte de l’ultra-local, avec efficacité. Quant aux desserts, en choix restreint, ils sont à l’image du reste: subtils et généreux, comme cette onctueuse crème brûlée à l’aspérule odorante.
Comme le menu, la carte des vins, majoritairement nature, se décline sur une ardoise et sont conseillés avec enthousiasme.