Il Mirtillo
C’est un restaurant un peu magique. Avec son grand figuier dans la cour-jardin, cette auberge de campagne genevoise nous transporte dans l’ambiance d’un grand restaurant de la côte amalfitaine. De ceux où les notables se retrouvent pour déguster des spécialités intemporelles et délectables. Des notables que l’on retrouve aux murs, en une vaste collection de photos en noir et blanc où le patron, Paolo Venezian, apparaît aux côtés de ses illustres clients. Elégant, Paolo Veneziano est d’ailleurs toujours en salle, entre murs ocre, banquettes confortables, abat-jours qui laissent planer une lumière dorée.
D’emblée, on remarquera une carte des vins superbe avec des crus au verre à des prix très raisonnables. Côté mets, la carte décline le meilleur de la gastronomie transalpine avec, en plus, des spécialités du jour comme la bagna cauda (un dip à la piémontaise) ou les artichauts frais. En amuse-bouche, des mini-bruschettas sont agrémentées d’huile d’olive estampillée Il Mirtillo, puis arrivent de petits arancini agréablement tièdes au safran et à la mozzarella. Mais c’est pour les raviolis del plin qu’il faut venir: ces mini-pâtes farcies sont délectables et généreusement servies en onctueuse sauce qui rappelle les vacances.
La parmigiana est elle aussi impeccable. Quant aux pappardelle maison au ragù d’agnello, c’est une délectation: tout un voyage. Enfin, les escalopes au marsala sont réalisées à l'italienne (délicatement farinées), dans les règles de l’art. Le tout est dressé sur de jolies assiettes peintes à la main. Côté desserts, on reste dans le ton de la tradition avec un tiramisu onctueux et un flan caramel bien ferme. Après le café, un petit limoncello «pour la route» et il ne reste plus qu’à se rendre à l’évidence: ça fait du bien, ce petit air de vacances.
C’est un restaurant un peu magique. Avec son grand figuier dans la cour-jardin, cette auberge de campagne genevoise nous transporte dans l’ambiance d’un grand restaurant de la côte amalfitaine. De ceux où les notables se retrouvent pour déguster des spécialités intemporelles et délectables. Des notables que l’on retrouve aux murs, en une vaste collection de photos en noir et blanc où le patron, Paolo Venezian, apparaît aux côtés de ses illustres clients. Elégant, Paolo Veneziano est d’ailleurs toujours en salle, entre murs ocre, banquettes confortables, abat-jours qui laissent planer une lumière dorée.
D’emblée, on remarquera une carte des vins superbe avec des crus au verre à des prix très raisonnables. Côté mets, la carte décline le meilleur de la gastronomie transalpine avec, en plus, des spécialités du jour comme la bagna cauda (un dip à la piémontaise) ou les artichauts frais. En amuse-bouche, des mini-bruschettas sont agrémentées d’huile d’olive estampillée Il Mirtillo, puis arrivent de petits arancini agréablement tièdes au safran et à la mozzarella. Mais c’est pour les raviolis del plin qu’il faut venir: ces mini-pâtes farcies sont délectables et généreusement servies en onctueuse sauce qui rappelle les vacances.
La parmigiana est elle aussi impeccable. Quant aux pappardelle maison au ragù d’agnello, c’est une délectation: tout un voyage. Enfin, les escalopes au marsala sont réalisées à l'italienne (délicatement farinées), dans les règles de l’art. Le tout est dressé sur de jolies assiettes peintes à la main. Côté desserts, on reste dans le ton de la tradition avec un tiramisu onctueux et un flan caramel bien ferme. Après le café, un petit limoncello «pour la route» et il ne reste plus qu’à se rendre à l’évidence: ça fait du bien, ce petit air de vacances.