La Bonne Auberge
A quelques pas du château, La Bonne Auberge, autrefois nommée Auberge du Faucon, est établie depuis 1852. Le chef Joël Khalil a su insuffler au lieu une touche de modernité en y ajoutant notamment La Bonne Epicerie, une boutique gourmande qui jouxte le restaurant. A la lumière des bougies ou à l’abri des grands parasols de la terrasse, la carte bistronomique propose des mets de saison soigneusement dressés et colorés.
C’est le cas de cette poêlée de Saint-Jacques dorée et fondante baignant dans une onctueuse crème de moules iodée.
On salue la parfaite cuisson de la viande. Ainsi, le couteau n’est pas nécessaire à la découpe de la palette de bœuf Angus cuite durant 36 heures. Elle arrive accompagnée d’un pressé de pommes de terre façon millefeuille délicatement parfumé au thym et de légumes colorés.
Côté mer, le poulpe saisi sur son lit d’aubergine confite surmonte un écrasé de pommes de terre au chorizo joyeusement parsemé de fenouil croquant. Seul bémol, l’ensemble des plats est un brin trop chargé en sel.
En dessert, le chou craquelin praliné est bien équilibré, mais le brownie aux noisettes trop nombreuses paraît un peu sec. Aimable carte des vins et crus au verre assortis de conseils avisés.
A quelques pas du château, La Bonne Auberge, autrefois nommée Auberge du Faucon, est établie depuis 1852. Le chef Joël Khalil a su insuffler au lieu une touche de modernité en y ajoutant notamment La Bonne Epicerie, une boutique gourmande qui jouxte le restaurant. A la lumière des bougies ou à l’abri des grands parasols de la terrasse, la carte bistronomique propose des mets de saison soigneusement dressés et colorés.
C’est le cas de cette poêlée de Saint-Jacques dorée et fondante baignant dans une onctueuse crème de moules iodée.
On salue la parfaite cuisson de la viande. Ainsi, le couteau n’est pas nécessaire à la découpe de la palette de bœuf Angus cuite durant 36 heures. Elle arrive accompagnée d’un pressé de pommes de terre façon millefeuille délicatement parfumé au thym et de légumes colorés.
Côté mer, le poulpe saisi sur son lit d’aubergine confite surmonte un écrasé de pommes de terre au chorizo joyeusement parsemé de fenouil croquant. Seul bémol, l’ensemble des plats est un brin trop chargé en sel.
En dessert, le chou craquelin praliné est bien équilibré, mais le brownie aux noisettes trop nombreuses paraît un peu sec. Aimable carte des vins et crus au verre assortis de conseils avisés.