La Cène
Dès l’entrée, une imposante vitrine expose les meilleurs crus de la maison. L’ambiance du restaurant est intimiste et élégante. Certaines tables sont séparées par de hauts dossiers capitonnés, tel un compartiment de train.
La cuisine du chef Mohamed Azeroual nous invite au voyage, avec des plats créatifs et modernes, inspirés par les saisons et par ses racines marocaines.
Elégantes, les propositions se déclinent entre une carte de brasserie et les inspirations de la semaine. Le menu «Eclosion des sens» débute avec un rafraîchissant sorbet à la tomate aux notes de thym et de romarin, accompagné d’une mini-tartelette au confit d’oignons, tout en délicatesse.
Le printemps s’invite à la table avec ces asperges vertes, en surprenant et très savoureux mariage de chorizo et de dukkha, ce mélange de noix et d’épices.
Arrivent les cœurs d’artichaut sublimés par une vierge et un crémeux au safran. Le citron confit leur donne une note vive et orientale.
Autre combinaison audacieuse, cette belle langoustine snackée, déposée sur un lit de petits pois «al dente», associés à un coulis de… framboises. Un mariage inattendu qui fonctionne à merveille.
Mais voilà le loup de mer à la cuisson nacrée, surmonté d’une compotée de fenouil et de baies roses. Un plat qui peine à se profiler dans le contexte de grande créativité du menu.
Par contre, le «meilleur de l’agneau», qui concilie filet et côtelettes, fondants en bouche et nappés d’un jus exceptionnel, émerveille. Une parfaite réduction de «couscous». Des falafels comme on aimerait en goûter plus souvent, la harissa faite maiso et le tzatziki viennent sublimer ce plat.
En douceur, Adeline, la pâtissière, propose les derniers agrumes de saison. Sans lourdeur, ni excès de sucre, ils sont déposés autour d’une fine tartelette au citron meringuée et un merveilleux sorbet à l’estragon.
Côté vins, la carte met le monde à nos pieds, avec aussi des sélections au verre qui offrent de jolies découvertes.
Dès l’entrée, une imposante vitrine expose les meilleurs crus de la maison. L’ambiance du restaurant est intimiste et élégante. Certaines tables sont séparées par de hauts dossiers capitonnés, tel un compartiment de train.
La cuisine du chef Mohamed Azeroual nous invite au voyage, avec des plats créatifs et modernes, inspirés par les saisons et par ses racines marocaines.
Elégantes, les propositions se déclinent entre une carte de brasserie et les inspirations de la semaine. Le menu «Eclosion des sens» débute avec un rafraîchissant sorbet à la tomate aux notes de thym et de romarin, accompagné d’une mini-tartelette au confit d’oignons, tout en délicatesse.
Le printemps s’invite à la table avec ces asperges vertes, en surprenant et très savoureux mariage de chorizo et de dukkha, ce mélange de noix et d’épices.
Arrivent les cœurs d’artichaut sublimés par une vierge et un crémeux au safran. Le citron confit leur donne une note vive et orientale.
Autre combinaison audacieuse, cette belle langoustine snackée, déposée sur un lit de petits pois «al dente», associés à un coulis de… framboises. Un mariage inattendu qui fonctionne à merveille.
Mais voilà le loup de mer à la cuisson nacrée, surmonté d’une compotée de fenouil et de baies roses. Un plat qui peine à se profiler dans le contexte de grande créativité du menu.
Par contre, le «meilleur de l’agneau», qui concilie filet et côtelettes, fondants en bouche et nappés d’un jus exceptionnel, émerveille. Une parfaite réduction de «couscous». Des falafels comme on aimerait en goûter plus souvent, la harissa faite maiso et le tzatziki viennent sublimer ce plat.
En douceur, Adeline, la pâtissière, propose les derniers agrumes de saison. Sans lourdeur, ni excès de sucre, ils sont déposés autour d’une fine tartelette au citron meringuée et un merveilleux sorbet à l’estragon.
Côté vins, la carte met le monde à nos pieds, avec aussi des sélections au verre qui offrent de jolies découvertes.