Le Petit Corbeau
Niché dans une vieille bâtisse, ce restaurant est en mains familiales depuis cinq générations. Il dégage un charme certain, que ce soit côté brasserie ou en salle à manger. Saint-Exupéry disait: «L’essentiel est invisible pour les yeux.» Pour les épicuriens amateurs de grands crus, c’est particulièrement vrai au Petit Corbeau. Bryan Lauper en a réuni plus de 250 avec autant de passion que de persévérance. Branchez-le sur le sujet et vous serez certain de passer une soirée passionnante. C’est également avec un goût sûr qu’il propose quelques trésors servis au verre. Laissez-le vous guider.
Le maquereau au goût bien typé, servi en version escabèche, est relevé par une touche d’acidité, un soupçon de piquant. Quelques herbes aromatiques et les petits quartiers d’agrumes confèrent au tout un bel équilibre. Le rosé de la canette parfumée au poivre du Sichuan forme un tableau joliment coloré avec la purée de brocolis et les inflorescences de chou-fleur et de romanesco. Un bel équilibre de saveurs complété par un original petit bol de lentilles.
On termine avec le moelleux au chocolat fondant et son sorbet à la pomme. Et on repart avec un excellent souvenir de cette cuisine plutôt simple mais parfaitement maîtrisée au-delà des très jolies présentations. Et, nous l’avons dit, la cave est époustouflante.
Niché dans une vieille bâtisse, ce restaurant est en mains familiales depuis cinq générations. Il dégage un charme certain, que ce soit côté brasserie ou en salle à manger. Saint-Exupéry disait: «L’essentiel est invisible pour les yeux.» Pour les épicuriens amateurs de grands crus, c’est particulièrement vrai au Petit Corbeau. Bryan Lauper en a réuni plus de 250 avec autant de passion que de persévérance. Branchez-le sur le sujet et vous serez certain de passer une soirée passionnante. C’est également avec un goût sûr qu’il propose quelques trésors servis au verre. Laissez-le vous guider.
Le maquereau au goût bien typé, servi en version escabèche, est relevé par une touche d’acidité, un soupçon de piquant. Quelques herbes aromatiques et les petits quartiers d’agrumes confèrent au tout un bel équilibre. Le rosé de la canette parfumée au poivre du Sichuan forme un tableau joliment coloré avec la purée de brocolis et les inflorescences de chou-fleur et de romanesco. Un bel équilibre de saveurs complété par un original petit bol de lentilles.
On termine avec le moelleux au chocolat fondant et son sorbet à la pomme. Et on repart avec un excellent souvenir de cette cuisine plutôt simple mais parfaitement maîtrisée au-delà des très jolies présentations. Et, nous l’avons dit, la cave est époustouflante.