Le Saint-Jean
Amateurs de gin et de cocktails, cette adresse est pour vous! Au Saint-Jean, sis au rez-de-chaussée de l’Hôtel de l’Ange, les habitués se pressent pour siroter leurs boissons préférées et en découvrir de nouvelles, accompagnées de tapas exquises. Et il y a de quoi faire. Le patron, Philippe Kuratle, propose une collection impressionnante de gins, magnifiée par ses mixologues. Le restaurant est ouvert uniquement en hiver, de même que le bar, qui, lui, prend ses quartiers estivaux sur la place Perdtemps. La carte du jeune chef sicilien Giole Greco est brève. Elle change toutes les six semaines. Au menu : 3 entrées, 3 plats principaux et 2 desserts. Les gourmets s’abstiendront de déguster quelques tapas avant de passer à table sous peine de devoir zapper le dessert car les portions sont généreuses. On optera sans hésiter pour un vitello tonnato 2.0 en entrée ou un tartare de bar. Contrairement à un vitello tonnato classique, le chef a travaillé deux jolis médaillons de veau rosés, préalablement snackés avec une écume au thon. On apprécie la mâche et surtout la légèreté de cet apprêt. Le bar est, lui, d’une extrême fraîcheur. Débité en minuscules bouchées, il est coiffé d’un nuage au bitter lemon, monté au siphon, et de quenelles d’œufs de lompe qui confèrent une salinité bienvenue à cette jolie entrée. En plat principal, les férus de protéines animales ont le choix entre du saumon suisse et de l’agneau, escortés de déclinaisons de légumes. Notre choix s’est porté sur de divines fettucine aux épinards maison, accompagnées d’une succulente crème de pistache, d’un confit de tomate et de burrata fumée. La portion, trop généreuse, nous a contraint à renoncer au dessert. Promis, on reviendra. Service très efficace et sympathique. Carte des vins un peu brève.
Amateurs de gin et de cocktails, cette adresse est pour vous! Au Saint-Jean, sis au rez-de-chaussée de l’Hôtel de l’Ange, les habitués se pressent pour siroter leurs boissons préférées et en découvrir de nouvelles, accompagnées de tapas exquises. Et il y a de quoi faire. Le patron, Philippe Kuratle, propose une collection impressionnante de gins, magnifiée par ses mixologues. Le restaurant est ouvert uniquement en hiver, de même que le bar, qui, lui, prend ses quartiers estivaux sur la place Perdtemps. La carte du jeune chef sicilien Giole Greco est brève. Elle change toutes les six semaines. Au menu : 3 entrées, 3 plats principaux et 2 desserts. Les gourmets s’abstiendront de déguster quelques tapas avant de passer à table sous peine de devoir zapper le dessert car les portions sont généreuses. On optera sans hésiter pour un vitello tonnato 2.0 en entrée ou un tartare de bar. Contrairement à un vitello tonnato classique, le chef a travaillé deux jolis médaillons de veau rosés, préalablement snackés avec une écume au thon. On apprécie la mâche et surtout la légèreté de cet apprêt. Le bar est, lui, d’une extrême fraîcheur. Débité en minuscules bouchées, il est coiffé d’un nuage au bitter lemon, monté au siphon, et de quenelles d’œufs de lompe qui confèrent une salinité bienvenue à cette jolie entrée. En plat principal, les férus de protéines animales ont le choix entre du saumon suisse et de l’agneau, escortés de déclinaisons de légumes. Notre choix s’est porté sur de divines fettucine aux épinards maison, accompagnées d’une succulente crème de pistache, d’un confit de tomate et de burrata fumée. La portion, trop généreuse, nous a contraint à renoncer au dessert. Promis, on reviendra. Service très efficace et sympathique. Carte des vins un peu brève.