L'Ermitage
L’Ermitage, maison d’hôtes et restaurant, est un nid douillet où le bois blond et une décoration soignée sont rois. Sophie Labarraque, propriétaire, est décoratrice d’intérieur et insuffle un esprit cosy et chaleureux à la maison et à son adorable jardin attenant. On s’y sent comme chez soi. En cuisine, ce sont Florian Pilet et son épouse, Malorie, qui sont aux manettes depuis le lancement de la saison estivale. Florian est un enfant du pays et tient à s’approvisionner auprès de producteurs locaux. C’est tout à son honneur et le couple sort de sa cuisine des plats sans esbroufe, à l’image de cette savoureuse terrine maison dressée sur une saladine craquante de fraîcheur. La tomme fleurette déambule poêlée sous un manteau de feuille de brick accompagnée de salade du jardin agrémentée d’une sauce pleine de peps. On s’en délecte. On reste dans la veine de la cuisine traditionnelle et familiale avec la roborative blanquette de veau et sa couronne de riz. La viande est longuement mijotée et parfaitement assaisonnée. Quelques petits légumes apportent une touche colorée. Délicieusement régressifs et souvent délaissés par les cuisiniers, les cordons-bleus sont ici remis à l’honneur avec bonheur. Parmi les propositions du moment, la version «du Dzodzet», sympathique clin d’œil au pays gruérien tout proche, comble le plus solide appétit. Servi très chaud et croustillant, le Vacherin AOP s’échappe de son portefeuille de filet de porc et jambon fumé de la borne. La portion est généreuse, assaisonnée avec doigté, et la cuisson parfaitement maîtrisée. La palette de légumes variés et croquants apporte vitamines et couleurs. La portion de frites maison est presque superflue. S‘il vous reste une petite place, ne manquez pas de faire honneur aux mets sucrés des maîtres-queux. Meringues et crème double, coupe glacée de la maison, crème brûlée répondent bien sûr à l’appel. Onctueuse et rafraîchissante, la panna cotta aux fraises flatte les papilles par sa douceur. Rappelant les souvenirs d’enfance et les barres chocolatées des randonnées à l’ombre des grands sapins, la tartelette façon Snickers est à la fois croustillante, fondante et délicate avec ses saveurs de cacahuètes. Une équipe de service souriante, efficace et aux petits soins pour ses clients virevolte en salle et, au moment de régler l’addition, vous apporte une note au montant tout à fait raisonnable.
L’Ermitage, maison d’hôtes et restaurant, est un nid douillet où le bois blond et une décoration soignée sont rois. Sophie Labarraque, propriétaire, est décoratrice d’intérieur et insuffle un esprit cosy et chaleureux à la maison et à son adorable jardin attenant. On s’y sent comme chez soi. En cuisine, ce sont Florian Pilet et son épouse, Malorie, qui sont aux manettes depuis le lancement de la saison estivale. Florian est un enfant du pays et tient à s’approvisionner auprès de producteurs locaux. C’est tout à son honneur et le couple sort de sa cuisine des plats sans esbroufe, à l’image de cette savoureuse terrine maison dressée sur une saladine craquante de fraîcheur. La tomme fleurette déambule poêlée sous un manteau de feuille de brick accompagnée de salade du jardin agrémentée d’une sauce pleine de peps. On s’en délecte. On reste dans la veine de la cuisine traditionnelle et familiale avec la roborative blanquette de veau et sa couronne de riz. La viande est longuement mijotée et parfaitement assaisonnée. Quelques petits légumes apportent une touche colorée. Délicieusement régressifs et souvent délaissés par les cuisiniers, les cordons-bleus sont ici remis à l’honneur avec bonheur. Parmi les propositions du moment, la version «du Dzodzet», sympathique clin d’œil au pays gruérien tout proche, comble le plus solide appétit. Servi très chaud et croustillant, le Vacherin AOP s’échappe de son portefeuille de filet de porc et jambon fumé de la borne. La portion est généreuse, assaisonnée avec doigté, et la cuisson parfaitement maîtrisée. La palette de légumes variés et croquants apporte vitamines et couleurs. La portion de frites maison est presque superflue. S‘il vous reste une petite place, ne manquez pas de faire honneur aux mets sucrés des maîtres-queux. Meringues et crème double, coupe glacée de la maison, crème brûlée répondent bien sûr à l’appel. Onctueuse et rafraîchissante, la panna cotta aux fraises flatte les papilles par sa douceur. Rappelant les souvenirs d’enfance et les barres chocolatées des randonnées à l’ombre des grands sapins, la tartelette façon Snickers est à la fois croustillante, fondante et délicate avec ses saveurs de cacahuètes. Une équipe de service souriante, efficace et aux petits soins pour ses clients virevolte en salle et, au moment de régler l’addition, vous apporte une note au montant tout à fait raisonnable.