Nagomi
Elégant restaurant de poche au cœur du quartier des Pâquis, Nagomi se décline en deux arcades. La première est le fief de Masahiko Numabukuro, grand maître dans la confection de sushis. Dans la seconde, son fils Kenta Numabukuro excelle dans la réalisation de tempuras d’une exquise légèreté. Attablé au comptoir, le client a tout loisir de suivre le chef. Père et fils proposent également le Nagomi Kaiseki, menu découverte, initiation à la richesse de la gastronomie nippone. La saladine d’algues et sa sauce au sésame donnent le ton. Puis une proposition de sashimis composés de thon, saumon, bar, seiche et Saint-Jacques flatte le palais de sa fraîcheur. On se délecte ensuite de ces petits haricots verts à la sauce épaisse au sésame et ses graines versées en pluie généreuse sur la préparation. On en redemanderait. Puis les fines tranches de bœuf noir japonais wagyu sont d’une tendreté inoubliable. On les plonge simplement dans une sauce ponzu-wasabi. C’est fondant. Dans la même veine, le flan à l’œuf chawanmushi caresse les papilles de sa finesse et de sa douceur. Châtaignes d’eau, poulet, crevettes et shiitakés lui apportent corps et croquant. Mais voici le fondant filet de morue charbonnière. Il est mariné à la lie de saké et taquiné d’une cuillerée de radis finement effilochés. Vient le moment de déguster les légumes frais et la crevette géante qu’on a vus en préparation tout au long de notre repas: ils sont habillés d’une fine pâte à frire et offrent une belle variété de textures et de saveurs. Un parfait glacé au thé matcha clôt le voyage. Thé vert ou brun sont proposés à prix d’ami. Côté boissons, sakés de distilleries réputées et bières nippones côtoient crus au verre et flacons.
Elégant restaurant de poche au cœur du quartier des Pâquis, Nagomi se décline en deux arcades. La première est le fief de Masahiko Numabukuro, grand maître dans la confection de sushis. Dans la seconde, son fils Kenta Numabukuro excelle dans la réalisation de tempuras d’une exquise légèreté. Attablé au comptoir, le client a tout loisir de suivre le chef. Père et fils proposent également le Nagomi Kaiseki, menu découverte, initiation à la richesse de la gastronomie nippone. La saladine d’algues et sa sauce au sésame donnent le ton. Puis une proposition de sashimis composés de thon, saumon, bar, seiche et Saint-Jacques flatte le palais de sa fraîcheur. On se délecte ensuite de ces petits haricots verts à la sauce épaisse au sésame et ses graines versées en pluie généreuse sur la préparation. On en redemanderait. Puis les fines tranches de bœuf noir japonais wagyu sont d’une tendreté inoubliable. On les plonge simplement dans une sauce ponzu-wasabi. C’est fondant. Dans la même veine, le flan à l’œuf chawanmushi caresse les papilles de sa finesse et de sa douceur. Châtaignes d’eau, poulet, crevettes et shiitakés lui apportent corps et croquant. Mais voici le fondant filet de morue charbonnière. Il est mariné à la lie de saké et taquiné d’une cuillerée de radis finement effilochés. Vient le moment de déguster les légumes frais et la crevette géante qu’on a vus en préparation tout au long de notre repas: ils sont habillés d’une fine pâte à frire et offrent une belle variété de textures et de saveurs. Un parfait glacé au thé matcha clôt le voyage. Thé vert ou brun sont proposés à prix d’ami. Côté boissons, sakés de distilleries réputées et bières nippones côtoient crus au verre et flacons.