Restaurant De la Gare Chez Sandro
La tradition horlogère mélangée à l’esprit de famille à l’italienne sont saufs et l’accueil est aussi agréable qu’efficace dans une salle à manger cossue et calme. Mais les problèmes de recrutements en cuisine et de futurs grands travaux à la rue de la Gare conduisent le restaurant à proposer la même carte en brasserie et au restaurant gastronomique. Mais deux petites tartelettes aux racines rouges, croquantes et efficaces, en amuse-bouche rassurent pleinement. Le vitello tonnato à la présentation ciselée arrive, empli de couleurs printanières, d’éclats, d’olives noires, de cornichons. Les belles tranches de veau enroulées surplombent la sauce au thon. Les produits resplendissent de fraîcheur, mention spéciale aux câpres particulièrement délicates. De leur côté, les asperges blanches à la cuisson impeccable sont servies avec une mayonnaise hyper-souple. On découvre aussi un primitivo 2022 des Pouilles, en Italie, de la maison Cantele, à l’aromatique de framboise, sec et tenu. La sole cuite à l’arête est servie avec des légumes croquants et une soyeuse purée de courge. Les deux plats de pâtes fraîches séduisent. Celles au délicat saumon Swiss Alpine décollent grâce à une subtile crème aux agrumes. Puis les très fins taglioni à la truffe proposent des bouchées compactes et légères. Au dessert, une panna cotta équilibrée au fruit de la passion, un délicat sorbet accompagnant un granola proposent un subtil et croquant alliage de fraîcheur. Le tiramisu classique semble manquer de mâche, mais l'incroyable texture de la crème assure le régal. Servis avec le café dans de petites boîtes en bois, des macarons à la noisette font revivre des souvenirs de grand-mère. A l’évidence, le chef Federico Bertozzini a totalement retrouvé ce qui fait sa force: l'épure, la simplicité, un mélange de délicatesse et d'opulence dans les règles de l'art.
La tradition horlogère mélangée à l’esprit de famille à l’italienne sont saufs et l’accueil est aussi agréable qu’efficace dans une salle à manger cossue et calme. Mais les problèmes de recrutements en cuisine et de futurs grands travaux à la rue de la Gare conduisent le restaurant à proposer la même carte en brasserie et au restaurant gastronomique. Mais deux petites tartelettes aux racines rouges, croquantes et efficaces, en amuse-bouche rassurent pleinement. Le vitello tonnato à la présentation ciselée arrive, empli de couleurs printanières, d’éclats, d’olives noires, de cornichons. Les belles tranches de veau enroulées surplombent la sauce au thon. Les produits resplendissent de fraîcheur, mention spéciale aux câpres particulièrement délicates. De leur côté, les asperges blanches à la cuisson impeccable sont servies avec une mayonnaise hyper-souple. On découvre aussi un primitivo 2022 des Pouilles, en Italie, de la maison Cantele, à l’aromatique de framboise, sec et tenu. La sole cuite à l’arête est servie avec des légumes croquants et une soyeuse purée de courge. Les deux plats de pâtes fraîches séduisent. Celles au délicat saumon Swiss Alpine décollent grâce à une subtile crème aux agrumes. Puis les très fins taglioni à la truffe proposent des bouchées compactes et légères. Au dessert, une panna cotta équilibrée au fruit de la passion, un délicat sorbet accompagnant un granola proposent un subtil et croquant alliage de fraîcheur. Le tiramisu classique semble manquer de mâche, mais l'incroyable texture de la crème assure le régal. Servis avec le café dans de petites boîtes en bois, des macarons à la noisette font revivre des souvenirs de grand-mère. A l’évidence, le chef Federico Bertozzini a totalement retrouvé ce qui fait sa force: l'épure, la simplicité, un mélange de délicatesse et d'opulence dans les règles de l'art.