Restaurant Le Café du Tramway
Rouvert fin 2023 après une hibernation de sept ans pour cause de travaux, le Café du Tramway accueille les convives dans une ambiance feutrée de bistrot haut de gamme. On pénètre dans la salle par l’entrée de l’immeuble et on arrive dans une salle avec de beaux lambris et des murs qui semblent poussés grâce à l’emploi astucieux de vastes miroirs.
La carte propose une sélection resserrée de plats. Une bille de fenouil en amuse-bouche donne le ton, avec sa gelée d’anis et ses éclats de pécan: on s’apprête à déguster des plats simples, mais préparés avec une belle technicité. Le tartare de thon à la mangue arrive un peu raplapla et, alors qu’on regrette son manque de tenue, explosent les saveurs très concentrées des pickles de légumes et des petites billes de gel de yuzu. Une belle entrée, avec plusieurs couches de saveurs intriquées: très engageant.
La lotte et sa fondue de poireaux sont généreusement servies, avec une sauce bouillabaisse lisse et brillante. Si l’on peut regretter la timidité des poireaux et une complexité moindre par rapport à l’entrée, on ne peut qu’apprécier ce poisson gourmand à la cuisson parfaite. Une crème brûlée en dessert n’offre guère de surprise, mais beaucoup de plaisir avec une belle concentration de vanille et un sucre bien dosé. Carte des vins resserrée, mais expliquée avec de bons conseils.
Rouvert fin 2023 après une hibernation de sept ans pour cause de travaux, le Café du Tramway accueille les convives dans une ambiance feutrée de bistrot haut de gamme. On pénètre dans la salle par l’entrée de l’immeuble et on arrive dans une salle avec de beaux lambris et des murs qui semblent poussés grâce à l’emploi astucieux de vastes miroirs.
La carte propose une sélection resserrée de plats. Une bille de fenouil en amuse-bouche donne le ton, avec sa gelée d’anis et ses éclats de pécan: on s’apprête à déguster des plats simples, mais préparés avec une belle technicité. Le tartare de thon à la mangue arrive un peu raplapla et, alors qu’on regrette son manque de tenue, explosent les saveurs très concentrées des pickles de légumes et des petites billes de gel de yuzu. Une belle entrée, avec plusieurs couches de saveurs intriquées: très engageant.
La lotte et sa fondue de poireaux sont généreusement servies, avec une sauce bouillabaisse lisse et brillante. Si l’on peut regretter la timidité des poireaux et une complexité moindre par rapport à l’entrée, on ne peut qu’apprécier ce poisson gourmand à la cuisson parfaite. Une crème brûlée en dessert n’offre guère de surprise, mais beaucoup de plaisir avec une belle concentration de vanille et un sucre bien dosé. Carte des vins resserrée, mais expliquée avec de bons conseils.