Brasserie d'alpage Les Cerniers
Sur ce petit plateau panoramique tutoyant les cimes de ses 1300 mètres, l’original et élégant complexe hôtelier des Whitepods comprend une brasserie d’alpage sous la forme d’un chalet mi-ancien, mi-moderne, clair et élégant. Il propose une carte plus adaptée à sa fonction de restaurant d’hôtel qu’aux appétits des randonneurs, mais séduisante et de qualité. Une carte un peu courte quand même: les deux seuls plats consistants, une épaule d’agneau de vingt-quatre heures et une côte de bœuf, ne se servent que pour deux personnes, les solitaires devant se rabattre sur un suprême de poulet, une truite ou un risotto d’épeautre.
Le choix des entrées est moins exclusif, entre le délicieux et rafraîchissant carpaccio de poire mandolinée fin, parsemée de bleu et vivifiée par une vinaigrette citronnée, et le tartare de féra du Léman, coupé grossier et relevé d’une brunoise de pomme et d’une délicate vinaigrette au gingembre. On peut relever également les excellentes asperges vertes du Valais classiquement accompagnées d’une sauce hollandaise en espuma légère comme un nuage ou un prometteur velouté Dubarry.
Le suprême de poulet fermier, plaisant, est servi avec une sauce au vin jaune peu marquée. En dessert, la poire pochée au vin blanc servie sur une douce crème au chocolat ou la tarte Tatin permettent un atterrissage en douceur.
L’accueil est juvénile et sympathique. Mention particulière pour la carte des vins, largement orientée bio et dynamie, cohérente, documentée et de grande qualité, élaborée par l’œnologue Johanna Dayer, une référence dans le monde des vins valaisans.
Sur ce petit plateau panoramique tutoyant les cimes de ses 1300 mètres, l’original et élégant complexe hôtelier des Whitepods comprend une brasserie d’alpage sous la forme d’un chalet mi-ancien, mi-moderne, clair et élégant. Il propose une carte plus adaptée à sa fonction de restaurant d’hôtel qu’aux appétits des randonneurs, mais séduisante et de qualité. Une carte un peu courte quand même: les deux seuls plats consistants, une épaule d’agneau de vingt-quatre heures et une côte de bœuf, ne se servent que pour deux personnes, les solitaires devant se rabattre sur un suprême de poulet, une truite ou un risotto d’épeautre.
Le choix des entrées est moins exclusif, entre le délicieux et rafraîchissant carpaccio de poire mandolinée fin, parsemée de bleu et vivifiée par une vinaigrette citronnée, et le tartare de féra du Léman, coupé grossier et relevé d’une brunoise de pomme et d’une délicate vinaigrette au gingembre. On peut relever également les excellentes asperges vertes du Valais classiquement accompagnées d’une sauce hollandaise en espuma légère comme un nuage ou un prometteur velouté Dubarry.
Le suprême de poulet fermier, plaisant, est servi avec une sauce au vin jaune peu marquée. En dessert, la poire pochée au vin blanc servie sur une douce crème au chocolat ou la tarte Tatin permettent un atterrissage en douceur.
L’accueil est juvénile et sympathique. Mention particulière pour la carte des vins, largement orientée bio et dynamie, cohérente, documentée et de grande qualité, élaborée par l’œnologue Johanna Dayer, une référence dans le monde des vins valaisans.