Brasserie Notre-Dame
Comme elle est élégante et moderne, cette brasserie à la carte inspirée qui se prolonge d’une salle intimiste où déguster une carte ultra-gourmande et le menu du chef, l’Alsacien Maxime Arnold. Aidé d’un serveur plein de gentillesse, Vitor Coelho, le patron y prodigue un accueil chaleureux et attentionné. C’est aussi à lui qu’il ne faut pas manquer de s’adresser pour commander l’un de ses cocktails signatures: ils sont dignes des bars les plus renommés des capitales du monde! C’est encore lui qui, à la demande, associe avec doigté des crus au verre avec chaque plat. Des crus tirés d’une carte remarquable, où toutes les régions de Suisse, du Tessin à la Thurgovie et de Schaffhouse à Genève, sont représentées par des stars de la vigne: Tamborini, von Tscharner, Adank y côtoient Andrei, Cruchon, Simonet et Massy, notamment. Et dans les assiettes, on poursuit sur le même souci de pertinence et de raffinement. Les amuse-bouches arrivent sur une assiette à double fond garnie de mousse et d’où s’échappe un mystérieux brouillard. Macaron à la carotte, figue lactofermentée et lamelle de porc s’y présentent au côté d’un micro-tartare de boeuf à l’ail noir qui incarne une fondue chinoise sublimée. Lactofermentée également, la mosaïque de saumon et salsifis nimbé de bergamote se présente comme un sushi géant d’une délicatesse remarquable. De son côté, la tartelette de lapin en basse température, rissolé et flambé puis accompagné de pruneaux fermentés, de purée de marrons et d’une émulsion au lard, légère comme une chantilly, mais peut-être un peu écœurante. Puis on passe au Wellington revisité en croquante pâte à brick. Il est tonifié par le gingembre et escorté d’un délicieux millefeuille de pommes de terre qu’une sauce intense vient napper. En dessert, on hésite entre le croustillant de sésame noir et yuzu absolument exquis et la plus insolite association de panais et de noisette, magnifiquement équilibrée. Chocolat miel-amaretto et cannelé concluent un repas tout à fait enthousiasmant.
Comme elle est élégante et moderne, cette brasserie à la carte inspirée qui se prolonge d’une salle intimiste où déguster une carte ultra-gourmande et le menu du chef, l’Alsacien Maxime Arnold. Aidé d’un serveur plein de gentillesse, Vitor Coelho, le patron y prodigue un accueil chaleureux et attentionné. C’est aussi à lui qu’il ne faut pas manquer de s’adresser pour commander l’un de ses cocktails signatures: ils sont dignes des bars les plus renommés des capitales du monde! C’est encore lui qui, à la demande, associe avec doigté des crus au verre avec chaque plat. Des crus tirés d’une carte remarquable, où toutes les régions de Suisse, du Tessin à la Thurgovie et de Schaffhouse à Genève, sont représentées par des stars de la vigne: Tamborini, von Tscharner, Adank y côtoient Andrei, Cruchon, Simonet et Massy, notamment. Et dans les assiettes, on poursuit sur le même souci de pertinence et de raffinement. Les amuse-bouches arrivent sur une assiette à double fond garnie de mousse et d’où s’échappe un mystérieux brouillard. Macaron à la carotte, figue lactofermentée et lamelle de porc s’y présentent au côté d’un micro-tartare de boeuf à l’ail noir qui incarne une fondue chinoise sublimée. Lactofermentée également, la mosaïque de saumon et salsifis nimbé de bergamote se présente comme un sushi géant d’une délicatesse remarquable. De son côté, la tartelette de lapin en basse température, rissolé et flambé puis accompagné de pruneaux fermentés, de purée de marrons et d’une émulsion au lard, légère comme une chantilly, mais peut-être un peu écœurante. Puis on passe au Wellington revisité en croquante pâte à brick. Il est tonifié par le gingembre et escorté d’un délicieux millefeuille de pommes de terre qu’une sauce intense vient napper. En dessert, on hésite entre le croustillant de sésame noir et yuzu absolument exquis et la plus insolite association de panais et de noisette, magnifiquement équilibrée. Chocolat miel-amaretto et cannelé concluent un repas tout à fait enthousiasmant.