Des Bains
Le Restaurant des Bains, c’est avant tout un plongeon dans une convivialité rare. L’accueil tout sourire de Laetitia Stauffacher et de son équipe de service réchauffe rapidement la salle un peu terne. La patronne vous guidera tout au long du repas, proposant des accords mets-vins originaux et pertinents. Son mari, Johann, met dans sa cuisine toute la saison en cours. Lors de notre passage, ail des ours, morilles, côtes de bette et rhubarbe sont déclinés de toutes les manières. Quand on aime, on ne compte pas!
En amuse-bouche, un gravlax de saumon au fruit de la passion arrive sur un lit de couscous, avec sa moutarde douce. Joli début. Puis le foie gras maison est affiné au moelleux pinot gris du Vully, un superbe mariage. Un mini-kouglof au foie gras et compote de rhubarbe varie les textures et accentue encore ce petit air d’Alsace. Les premières morilles, délicieuses, agrémentent un risotto avec l’ail des ours en émulsion. Les sot-l’y-laisse sont préparés comme des ris de veau, croustillants. Le riesling de Gérard Besse servi en accord surprend autant qu’il convainc.
En plat, on revient dans la région: le sandre du lac de Morat est ferme et joliment grillé, pour jouer le contraste avec son lit de côtes de bette en brunoise fondante. Le tournedos de filet de bœuf est saignant comme demandé et la viande est goûteuse, nappée d’une sauce provençale dépaysante. Un nem ricotta-côte de bette complète l’assiette sans grande cohérence mais avec goût.
La rhubarbe revient à la fin au cœur d’un tiramisu léger. Dessert signature de la maison, l’«Arc-en-ciel givré» vaut le coup de cuiller! Arrosé d’amaretto et garni d’une macédoine de fruits, il décline la vanille, la pistache, la cerise, la mangue et le kiwi dans une alternance de sorbets et de crèmes glacées harmonieuse. Cerise sur le gâteau, une délicieuse griotte confite parfait cette cassata broyarde qui nous plonge, cette fois, dans l’enfance.
Le Restaurant des Bains, c’est avant tout un plongeon dans une convivialité rare. L’accueil tout sourire de Laetitia Stauffacher et de son équipe de service réchauffe rapidement la salle un peu terne. La patronne vous guidera tout au long du repas, proposant des accords mets-vins originaux et pertinents. Son mari, Johann, met dans sa cuisine toute la saison en cours. Lors de notre passage, ail des ours, morilles, côtes de bette et rhubarbe sont déclinés de toutes les manières. Quand on aime, on ne compte pas!
En amuse-bouche, un gravlax de saumon au fruit de la passion arrive sur un lit de couscous, avec sa moutarde douce. Joli début. Puis le foie gras maison est affiné au moelleux pinot gris du Vully, un superbe mariage. Un mini-kouglof au foie gras et compote de rhubarbe varie les textures et accentue encore ce petit air d’Alsace. Les premières morilles, délicieuses, agrémentent un risotto avec l’ail des ours en émulsion. Les sot-l’y-laisse sont préparés comme des ris de veau, croustillants. Le riesling de Gérard Besse servi en accord surprend autant qu’il convainc.
En plat, on revient dans la région: le sandre du lac de Morat est ferme et joliment grillé, pour jouer le contraste avec son lit de côtes de bette en brunoise fondante. Le tournedos de filet de bœuf est saignant comme demandé et la viande est goûteuse, nappée d’une sauce provençale dépaysante. Un nem ricotta-côte de bette complète l’assiette sans grande cohérence mais avec goût.
La rhubarbe revient à la fin au cœur d’un tiramisu léger. Dessert signature de la maison, l’«Arc-en-ciel givré» vaut le coup de cuiller! Arrosé d’amaretto et garni d’une macédoine de fruits, il décline la vanille, la pistache, la cerise, la mangue et le kiwi dans une alternance de sorbets et de crèmes glacées harmonieuse. Cerise sur le gâteau, une délicieuse griotte confite parfait cette cassata broyarde qui nous plonge, cette fois, dans l’enfance.