Casy
Au cœur de la station, un emplacement idéal, très spacieux, et des plus courus. Il offre une carte variée, comprenant notamment burgers et tartares. Plus de vingt ans d’expérience dans l’hôtellerie et la gastronomie ça compte, et ça se voit: Sylvain excelle aux fourneaux et Caroline virevolte en salle avec un sens de l’accueil inné et beaucoup de prévenance. La carte se veut très littéraire dans les dénominations: «La soupe qu’on apprécie à l’aube» est à l’oignon et revisitée, avec les croûtons gratinés au fromage servis à part; «Le crabe à la baguette», d'exquises rillettes au citron vert et curry rouge joliment accompagnées de baguettes de pain toasté. Le gravlax d’agneau au sirop d’érable, brisures de feta et noisettes, crée une palette de goûts en parfaite harmonie. On poursuit avec «Le caprice à deux… du berger», une part généreuse d’épaule d’agneau de lait aux épices vadouvan, servie pour deux convives, avec un accompagnement de panisses frites et de carottes très élégamment présenté. On reste par contre déçu de la poitrine de poulet farcie aux shiitakés, cuite à la vapeur et accompagnée de nouilles au sarrasin grisâtres; une telle cuisson enlève toute tendreté et tout croquant à la viande. Deux belles surprises en dessert: une meringue posée sur un sorbet à la pomme et éclats de cardamome et marrons ou, plus classique, une crème brûlée craquante à souhait. Belle découverte de vins de la région de Sierre servis au verre.
Au cœur de la station, un emplacement idéal, très spacieux, et des plus courus. Il offre une carte variée, comprenant notamment burgers et tartares. Plus de vingt ans d’expérience dans l’hôtellerie et la gastronomie ça compte, et ça se voit: Sylvain excelle aux fourneaux et Caroline virevolte en salle avec un sens de l’accueil inné et beaucoup de prévenance. La carte se veut très littéraire dans les dénominations: «La soupe qu’on apprécie à l’aube» est à l’oignon et revisitée, avec les croûtons gratinés au fromage servis à part; «Le crabe à la baguette», d'exquises rillettes au citron vert et curry rouge joliment accompagnées de baguettes de pain toasté. Le gravlax d’agneau au sirop d’érable, brisures de feta et noisettes, crée une palette de goûts en parfaite harmonie. On poursuit avec «Le caprice à deux… du berger», une part généreuse d’épaule d’agneau de lait aux épices vadouvan, servie pour deux convives, avec un accompagnement de panisses frites et de carottes très élégamment présenté. On reste par contre déçu de la poitrine de poulet farcie aux shiitakés, cuite à la vapeur et accompagnée de nouilles au sarrasin grisâtres; une telle cuisson enlève toute tendreté et tout croquant à la viande. Deux belles surprises en dessert: une meringue posée sur un sorbet à la pomme et éclats de cardamome et marrons ou, plus classique, une crème brûlée craquante à souhait. Belle découverte de vins de la région de Sierre servis au verre.