Guarda Golf Hotel & Residences
Peu de surprises, sinon de bonnes, dans cet hôtel cinq étoiles, qui vous offre dès l’accueil une extrême attention, mêlant prévenance et amabilité. Le décor fait grand usage de boiseries foncées, créant du sol au plafond une ambiance très intimiste, d’autant plus que les tables se tiennent très à distance les unes des autres. Si vous aimez la cuisine du Levant et du sud de l’Europe, vous allez apprécier sans limites, et de plus à des prix très corrects. Il est recommandé de prendre le menu qui propose avantageusement à choix 2 mezzés chauds ou froids, une viande ou un poisson, et un dessert, et surtout de partager les plats comme il se doit. Peu de mystères dans la carte, pas de place pour la poésie gastronomique, tous les composants sont indiqués et expliqués avec force symboles pour prévenir toutes les intolérances et allergies à la mode. La fraîcheur et le goût sont au rendez-vous avec les jeunes pousses d’épinards aux pignons et à l’huile d’olive à la truffe, sous une pluie de parmesan; ou le vrai taboulé de persil relevé de grains de grenade et d’amandes torréfiées. En mezzé chaud, les crevettes sautées offrent un croquant parfait, avec sauce tomate, olives et câpres; ou les kebbé végétariens – des boulettes de boulgour – qui s’accordent avec une exquise sauce yaourt et menthe. Dans les plats de viande et poisson, laissez-vous tenter par le délicieux orzo, avec langoustines grillées, raisins, pignons et échalotes caramélisées; il nous a ravi tout autant que le haut de cuisse de poulet grillé aux épices, d’une extrême tendreté, à accompagner d’un bol de légumes de saison et champignons juste sautés, une préparation rare à ce niveau de qualité. Le chef, Félicien Christe, n’a rien perdu de sa formation initiale de pâtissier, et il brille encore plus au moment du dessert avec quatre douceurs à choix. On s’est laissé tenter par deux régals: le fondant au chocolat associé à une poire fondante, et le baklava à la pistache avec coulis de framboise.
Peu de surprises, sinon de bonnes, dans cet hôtel cinq étoiles, qui vous offre dès l’accueil une extrême attention, mêlant prévenance et amabilité. Le décor fait grand usage de boiseries foncées, créant du sol au plafond une ambiance très intimiste, d’autant plus que les tables se tiennent très à distance les unes des autres. Si vous aimez la cuisine du Levant et du sud de l’Europe, vous allez apprécier sans limites, et de plus à des prix très corrects. Il est recommandé de prendre le menu qui propose avantageusement à choix 2 mezzés chauds ou froids, une viande ou un poisson, et un dessert, et surtout de partager les plats comme il se doit. Peu de mystères dans la carte, pas de place pour la poésie gastronomique, tous les composants sont indiqués et expliqués avec force symboles pour prévenir toutes les intolérances et allergies à la mode. La fraîcheur et le goût sont au rendez-vous avec les jeunes pousses d’épinards aux pignons et à l’huile d’olive à la truffe, sous une pluie de parmesan; ou le vrai taboulé de persil relevé de grains de grenade et d’amandes torréfiées. En mezzé chaud, les crevettes sautées offrent un croquant parfait, avec sauce tomate, olives et câpres; ou les kebbé végétariens – des boulettes de boulgour – qui s’accordent avec une exquise sauce yaourt et menthe. Dans les plats de viande et poisson, laissez-vous tenter par le délicieux orzo, avec langoustines grillées, raisins, pignons et échalotes caramélisées; il nous a ravi tout autant que le haut de cuisse de poulet grillé aux épices, d’une extrême tendreté, à accompagner d’un bol de légumes de saison et champignons juste sautés, une préparation rare à ce niveau de qualité. Le chef, Félicien Christe, n’a rien perdu de sa formation initiale de pâtissier, et il brille encore plus au moment du dessert avec quatre douceurs à choix. On s’est laissé tenter par deux régals: le fondant au chocolat associé à une poire fondante, et le baklava à la pistache avec coulis de framboise.