Crans Ambassador
Tantôt décriée, tantôt admirée, l’originale silhouette de l’hôtel Crans Ambassador qui domine toute la station est un hommage aux années 1970. L’intérieur, boisé, tendance nordico-écossaise, est agréablement fédérateur. Et les restaurants sur deux étages ont l’avantage d’offrir une vue panoramique. A l’étage inférieur, c’est le concept fusion La Munia qui est décliné avec brio. Malheureusement, la cheffeTomoko Miya Gunji Hangartner est partie dans le courant de l’été, mais Yann Kriba a pris la relève. Le «maguro crispy» au piment (du thon en tartare bien relevé) fait une excellente entrée en matière. Puis les petits plats à partager se succèdent. Sériole au yuzu qui évoque les délices de la bergamote, ceviche de bar à la truffe noire, morue au miso confit font autant de délices dressés avec grâce. Puis on passe aux plats: le poulet au saté (yakitori) arrive avec une originale déclinaison de pommes de terre colorées: rouge, violette, jaune.... Caché sous un bouquet d’herbes parfumées, le bar est magnifique et bénéficie d’une cuisson parfaite. On applaudit aussi la tempura de crevettes, exquise et légère. Pour terminer, la douceur d’hibiscus, pamplemousse, litchi et earl grey enchante littéralement. Service, jeune, informel, souriant et attentionné. Cave riche en très belles découvertes.
Tantôt décriée, tantôt admirée, l’originale silhouette de l’hôtel Crans Ambassador qui domine toute la station est un hommage aux années 1970. L’intérieur, boisé, tendance nordico-écossaise, est agréablement fédérateur. Et les restaurants sur deux étages ont l’avantage d’offrir une vue panoramique. A l’étage inférieur, c’est le concept fusion La Munia qui est décliné avec brio. Malheureusement, la cheffeTomoko Miya Gunji Hangartner est partie dans le courant de l’été, mais Yann Kriba a pris la relève. Le «maguro crispy» au piment (du thon en tartare bien relevé) fait une excellente entrée en matière. Puis les petits plats à partager se succèdent. Sériole au yuzu qui évoque les délices de la bergamote, ceviche de bar à la truffe noire, morue au miso confit font autant de délices dressés avec grâce. Puis on passe aux plats: le poulet au saté (yakitori) arrive avec une originale déclinaison de pommes de terre colorées: rouge, violette, jaune.... Caché sous un bouquet d’herbes parfumées, le bar est magnifique et bénéficie d’une cuisson parfaite. On applaudit aussi la tempura de crevettes, exquise et légère. Pour terminer, la douceur d’hibiscus, pamplemousse, litchi et earl grey enchante littéralement. Service, jeune, informel, souriant et attentionné. Cave riche en très belles découvertes.