Coco Mama
Japon, Koweït, Philippines, Italie, Corse, Courchevel, Côte d’Azur, Zermatt… la liste des destinations où Arturo Fulong a travaillé est longue. Le chef du Coco Mama n’a pas 40 ans mais son parcours impressionne. Car il est aussi le fondateur du concept La Muña, dont on retrouve avec bonheur la cuisine nikkei en Suisse, à Zurich, à Crans-Montana et à Zermatt, ainsi que dans six autres établissements de par le monde. En 2023, il a atterri à Clarens avec Jurani Naiborhu, ancien directeur de salle du Chedi à Andermatt, afin de proposer sur cette petite terrasse surfant sur le Léman une gastronomie décomplexée.
Ainsi, le riz croustillant et son tartare de thon rouge, délicatement relevés d’une mayonnaise épicée, sont un gros coup de cœur; la salade d’épinards au miso et parmesan se complète de vinaigrette à la truffe; alors que les gyozas végétariens grillés sont d’une gourmandise sans pareille. Profitant d’un service plus que parfait, mêlant bonne humeur et rapidité, on se jette alors sur ce ceviche de sériole façon sashimi et leche de tigre, qui réveille agréablement le palais. Autre coup de cœur: l’entrecôte de bœuf en fines tranches et au piment, parfaitement cuite, et sa sauce péruvienne truffée. On jette un rapide coup d’œil sur la dernière page de la carte, qui développe la douzaine de makis, california rolls et autres sashimis, avant de passer à celle des desserts. On y choisit le réconfortant moelleux chocolat-matcha et sa glace à la vanille, dont la cuisson et les saveurs franches convainquent.
Japon, Koweït, Philippines, Italie, Corse, Courchevel, Côte d’Azur, Zermatt… la liste des destinations où Arturo Fulong a travaillé est longue. Le chef du Coco Mama n’a pas 40 ans mais son parcours impressionne. Car il est aussi le fondateur du concept La Muña, dont on retrouve avec bonheur la cuisine nikkei en Suisse, à Zurich, à Crans-Montana et à Zermatt, ainsi que dans six autres établissements de par le monde. En 2023, il a atterri à Clarens avec Jurani Naiborhu, ancien directeur de salle du Chedi à Andermatt, afin de proposer sur cette petite terrasse surfant sur le Léman une gastronomie décomplexée.
Ainsi, le riz croustillant et son tartare de thon rouge, délicatement relevés d’une mayonnaise épicée, sont un gros coup de cœur; la salade d’épinards au miso et parmesan se complète de vinaigrette à la truffe; alors que les gyozas végétariens grillés sont d’une gourmandise sans pareille. Profitant d’un service plus que parfait, mêlant bonne humeur et rapidité, on se jette alors sur ce ceviche de sériole façon sashimi et leche de tigre, qui réveille agréablement le palais. Autre coup de cœur: l’entrecôte de bœuf en fines tranches et au piment, parfaitement cuite, et sa sauce péruvienne truffée. On jette un rapide coup d’œil sur la dernière page de la carte, qui développe la douzaine de makis, california rolls et autres sashimis, avant de passer à celle des desserts. On y choisit le réconfortant moelleux chocolat-matcha et sa glace à la vanille, dont la cuisson et les saveurs franches convainquent.