CoinCoin
Ne vous fiez pas à l'aspect très jeune et décontracté du lieu, au tutoiement sur internet, ou au nom décalé, le CoinCoin est la vraie bonne surprise. Il faut s’y précipiter pour – ce sont leurs mots – manger, rire, partager, lâcher prise, décompresser, célébrer, s’enivrer. Beau programme! Aux fourneaux, nous trouvons le talentueux Valentin Pouzet, 29 ans, fraîchement arrivé de la Micheline (16/20) où il était sous-chef, et, en salle, une équipe jeune et dynamique qui vous met immédiatement à l’aise. On s’installe au bar pour un cocktail maison et une assiette de charcuterie ou côté restaurant pour une soirée gourmande qui commence par une tranche épaisse d'un délicieux pâté en croûte parfaitement assaisonné et un carpaccio de sériole finement tranché à la mode japonaise. Le tartare de veau fait l’unanimité, agrémenté de graines de moutarde qui crépitent sous la dent. Le poisson du jour est un magnifique pavé de cabillaud qui s’effeuille, accompagné d’un beurre blanc impeccable et parfaitement équilibré, joliment rehaussé de quelques œufs de truite. Les gnocchis dorés qui l'accompagnent sont un peu élastiques, seul bémol de ce beau repas. Au dessert, la pomme caramélisée peu sucrée et son sablé est une réussite, comme la roborative ganache au chocolat à la fleur de sel. Notons encore une très belle sélection de vins nature, un magnifique pain au levain de chez Levain.ch et surtout un service tout en sourire et en amabilité.
Ne vous fiez pas à l'aspect très jeune et décontracté du lieu, au tutoiement sur internet, ou au nom décalé, le CoinCoin est la vraie bonne surprise. Il faut s’y précipiter pour – ce sont leurs mots – manger, rire, partager, lâcher prise, décompresser, célébrer, s’enivrer. Beau programme! Aux fourneaux, nous trouvons le talentueux Valentin Pouzet, 29 ans, fraîchement arrivé de la Micheline (16/20) où il était sous-chef, et, en salle, une équipe jeune et dynamique qui vous met immédiatement à l’aise. On s’installe au bar pour un cocktail maison et une assiette de charcuterie ou côté restaurant pour une soirée gourmande qui commence par une tranche épaisse d'un délicieux pâté en croûte parfaitement assaisonné et un carpaccio de sériole finement tranché à la mode japonaise. Le tartare de veau fait l’unanimité, agrémenté de graines de moutarde qui crépitent sous la dent. Le poisson du jour est un magnifique pavé de cabillaud qui s’effeuille, accompagné d’un beurre blanc impeccable et parfaitement équilibré, joliment rehaussé de quelques œufs de truite. Les gnocchis dorés qui l'accompagnent sont un peu élastiques, seul bémol de ce beau repas. Au dessert, la pomme caramélisée peu sucrée et son sablé est une réussite, comme la roborative ganache au chocolat à la fleur de sel. Notons encore une très belle sélection de vins nature, un magnifique pain au levain de chez Levain.ch et surtout un service tout en sourire et en amabilité.