Hôtel Six Senses
Dans ce restaurant-bar branché situé dans l’un des plus beaux palaces de la station, la musique fait partie intégrante du menu. La zénitude que suggèrent les lumières tamisées, les bonzaïs et les tentures de soie fuchsia est rapidement éclipsée par l’enchaînement de remix (plus ou moins réussis) avant qu’un saxophoniste ne prenne le relais sitôt la nuit tombée. C’est sûr, l’ambiance ici est garantie! Mais qu’en est-il du contenu?
Elaborée par le nouveau chef David Khemphone et sa brigade, la carte propose un large éventail de la gastronomie nippone. A commencer par ce tartare de thon finement coupé en guise de mise en bouche, juste relevé d’un trait de soja et de caviar de la mer Caspienne pour le raffinement. Autre classique de la cuisine japonaise, le sashimi de bar se déguste avec un peu de miso séché et de l’huile d’olive pour un résultat tout en harmonie. Arrive ensuite une sélection de nigiri d’une remarquable fraîcheur allant du thon gras au saumon, en passant par la sériole et la coquille Saint-Jacques. Une palette de couleurs et de saveurs s’appréciant avec un peu de wasabi. De son côté, la salade d’épinards au homard bénéficie d’un puissant assaisonnement à base de miso et de truffe. Le luxe se poursuit avec ce filet de wagyu A5 (note maximale de qualité) juste saisi et magnifiquement marbré. Bien que cette viande tendre comme du beurre se suffise à elle-même, elle est servie avec les traditionnelles sauces teriyaki et chimichurri.
Soirée de Saint-Valentin oblige, les incontournables mochis (riz gluant) au sésame et au matcha font place ce jour-là à deux cœurs de chocolat blanc renfermant un pimpant coulis de yuzu. Dessert ni trop sucré ni trop acide qui ne restera toutefois pas dans les annales. Alors que le concert bat son plein et que les décibels s’envolent, c’est l’heure de jeter un œil à la vaste carte des sakés dans laquelle l’équipe de sommellerie saura parfaitement vous guider.
Dans ce restaurant-bar branché situé dans l’un des plus beaux palaces de la station, la musique fait partie intégrante du menu. La zénitude que suggèrent les lumières tamisées, les bonzaïs et les tentures de soie fuchsia est rapidement éclipsée par l’enchaînement de remix (plus ou moins réussis) avant qu’un saxophoniste ne prenne le relais sitôt la nuit tombée. C’est sûr, l’ambiance ici est garantie! Mais qu’en est-il du contenu?
Elaborée par le nouveau chef David Khemphone et sa brigade, la carte propose un large éventail de la gastronomie nippone. A commencer par ce tartare de thon finement coupé en guise de mise en bouche, juste relevé d’un trait de soja et de caviar de la mer Caspienne pour le raffinement. Autre classique de la cuisine japonaise, le sashimi de bar se déguste avec un peu de miso séché et de l’huile d’olive pour un résultat tout en harmonie. Arrive ensuite une sélection de nigiri d’une remarquable fraîcheur allant du thon gras au saumon, en passant par la sériole et la coquille Saint-Jacques. Une palette de couleurs et de saveurs s’appréciant avec un peu de wasabi. De son côté, la salade d’épinards au homard bénéficie d’un puissant assaisonnement à base de miso et de truffe. Le luxe se poursuit avec ce filet de wagyu A5 (note maximale de qualité) juste saisi et magnifiquement marbré. Bien que cette viande tendre comme du beurre se suffise à elle-même, elle est servie avec les traditionnelles sauces teriyaki et chimichurri.
Soirée de Saint-Valentin oblige, les incontournables mochis (riz gluant) au sésame et au matcha font place ce jour-là à deux cœurs de chocolat blanc renfermant un pimpant coulis de yuzu. Dessert ni trop sucré ni trop acide qui ne restera toutefois pas dans les annales. Alors que le concert bat son plein et que les décibels s’envolent, c’est l’heure de jeter un œil à la vaste carte des sakés dans laquelle l’équipe de sommellerie saura parfaitement vous guider.