Hostellerie du Pas de l'Ours
L’Hostellerie du Pas de l’Ours épate dès la magnifique façade de cet hôtel où le bois et la pierre rivalisent de beauté. Après un accueil chaleureux, l’apéritif servi en terrasse permet d’admirer un magnifique panorama où le soleil couchant illumine les montagnes de doux tons pastel. Puis, dans la salle à manger au décor sobre et aux nappes immaculées, la fête gastronomique peut commencer. Le chef Franck Reynaud propose divers menus en cinq à huit étapes. La «Mise en condition» débute par une délicate et savoureuse tartelette chlorophylle, ortie et lichen. Elle est déposée sur un lit de feuilles d’été, avec une tomate confite et des chips de patate douce. Mais voici déjà les fondantes perches sauvages, escortées de Green Zebra (tomate verte zébrée) sur une émulsion aérienne agrémentée de quelques gouttes d’huile de livèche et parsemée de jolies feuilles d’oxalis. Puis la féra à la texture fine et fondante se présente, trop salée, avec une savoureuse sauce cresson-persil et une croquette banale sans réel intérêt gustatif. Le poisson est suivi d’un carré et ris de veau du pays et de courgettes trompettes. La chair est fondante et délicieusement parfumée. Un fromage de l’alpage voisin de l’Er et du sérac viennent idéalement clore la partie salée d’une si gourmande balade.
Le festin se termine avec deux desserts en forme de feu d’artifice savoureux. D’abord «Le sommet», une gracieuse ode aux subtils arômes de myrtille et sa confiture de lait. Le second, nommé «La descente», est un élégant assemblage de perles de pêche et poivre de Timut accompagné de notes cacaotées solides, croquantes, crémeuses ou mousseuses. Sans oublier le nougat glacé, où le miel de Chermignon tient la vedette. Le service se montre très professionnel, quoique parfois un peu compassé. Le sommelier maîtrise parfaitement son sujet, ses conseils sont avisés et précieux.
L’Hostellerie du Pas de l’Ours épate dès la magnifique façade de cet hôtel où le bois et la pierre rivalisent de beauté. Après un accueil chaleureux, l’apéritif servi en terrasse permet d’admirer un magnifique panorama où le soleil couchant illumine les montagnes de doux tons pastel. Puis, dans la salle à manger au décor sobre et aux nappes immaculées, la fête gastronomique peut commencer. Le chef Franck Reynaud propose divers menus en cinq à huit étapes. La «Mise en condition» débute par une délicate et savoureuse tartelette chlorophylle, ortie et lichen. Elle est déposée sur un lit de feuilles d’été, avec une tomate confite et des chips de patate douce. Mais voici déjà les fondantes perches sauvages, escortées de Green Zebra (tomate verte zébrée) sur une émulsion aérienne agrémentée de quelques gouttes d’huile de livèche et parsemée de jolies feuilles d’oxalis. Puis la féra à la texture fine et fondante se présente, trop salée, avec une savoureuse sauce cresson-persil et une croquette banale sans réel intérêt gustatif. Le poisson est suivi d’un carré et ris de veau du pays et de courgettes trompettes. La chair est fondante et délicieusement parfumée. Un fromage de l’alpage voisin de l’Er et du sérac viennent idéalement clore la partie salée d’une si gourmande balade.
Le festin se termine avec deux desserts en forme de feu d’artifice savoureux. D’abord «Le sommet», une gracieuse ode aux subtils arômes de myrtille et sa confiture de lait. Le second, nommé «La descente», est un élégant assemblage de perles de pêche et poivre de Timut accompagné de notes cacaotées solides, croquantes, crémeuses ou mousseuses. Sans oublier le nougat glacé, où le miel de Chermignon tient la vedette. Le service se montre très professionnel, quoique parfois un peu compassé. Le sommelier maîtrise parfaitement son sujet, ses conseils sont avisés et précieux.