La Réserve Genève
Décidément, le meilleur restaurant chinois de Suisse romande se trouve toujours dans le cadre feutré de ce palace aux portes de Genève. Ici, le décor est authentique sans être kitsch et la terrasse estivale offre une belle vue sur le parc. Le service se montre aussi précis que décontracté et la cuisine du chef Frank Xu sait jongler avec les saveurs et les produits.
L’incontournable canard laqué, disponible à la carte ou dans un menu, tient la vedette. La bête est présentée entière à table avant de retourner en cuisine pour être découpée. Un premier service offre la peau croustillante dans des crêpes à la farine de blé et de la sauce hoisin, un second voit les magrets hachés et sautés dans des feuilles de laitue.
Mais le reste de la carte vaut aussi le détour. Ainsi cette symphonie de dim sums, ces raviolis vapeur fondants, offerts en neuf variations. Nous avions choisi ceux au veau, tendrissimes, joliment relevés de gingembre, qu’on trempe dans une sauce soja à la moutarde. Les rouleaux aux crevettes bien garnis et croquants s’emballent d’une pâte au riz rouge bien relevée.
Le filet de bar parfaitement saisi est servi en tronçons qu’agrémentent des tranches de gingembre pochées et des cébettes. L’équilibre est parfait, le poisson magnifié. Et ce filet de bœuf coupé en fines lamelles, croustillantes par leur caramel à peine sucré, relevé de piments et de sésame! En accompagnement, le riz signature du chef, sauté aux légumes et crevettes.
Le choix de desserts est sobre, comme ces nems au chocolat et sorbet à la noix de coco ou cette simple assiette bien garnie de fruits exotiques. Quant à la carte des boissons, elle offre moult cocktails chics, à côté d’une déclinaison de thés ou d’une cave fournie en crus bien choisis, dont ceux du propriétaire, Michel Reybier.
Décidément, le meilleur restaurant chinois de Suisse romande se trouve toujours dans le cadre feutré de ce palace aux portes de Genève. Ici, le décor est authentique sans être kitsch et la terrasse estivale offre une belle vue sur le parc. Le service se montre aussi précis que décontracté et la cuisine du chef Frank Xu sait jongler avec les saveurs et les produits.
L’incontournable canard laqué, disponible à la carte ou dans un menu, tient la vedette. La bête est présentée entière à table avant de retourner en cuisine pour être découpée. Un premier service offre la peau croustillante dans des crêpes à la farine de blé et de la sauce hoisin, un second voit les magrets hachés et sautés dans des feuilles de laitue.
Mais le reste de la carte vaut aussi le détour. Ainsi cette symphonie de dim sums, ces raviolis vapeur fondants, offerts en neuf variations. Nous avions choisi ceux au veau, tendrissimes, joliment relevés de gingembre, qu’on trempe dans une sauce soja à la moutarde. Les rouleaux aux crevettes bien garnis et croquants s’emballent d’une pâte au riz rouge bien relevée.
Le filet de bar parfaitement saisi est servi en tronçons qu’agrémentent des tranches de gingembre pochées et des cébettes. L’équilibre est parfait, le poisson magnifié. Et ce filet de bœuf coupé en fines lamelles, croustillantes par leur caramel à peine sucré, relevé de piments et de sésame! En accompagnement, le riz signature du chef, sauté aux légumes et crevettes.
Le choix de desserts est sobre, comme ces nems au chocolat et sorbet à la noix de coco ou cette simple assiette bien garnie de fruits exotiques. Quant à la carte des boissons, elle offre moult cocktails chics, à côté d’une déclinaison de thés ou d’une cave fournie en crus bien choisis, dont ceux du propriétaire, Michel Reybier.