Pakùpakù
Au plaisir de se balader dans les rues du vieux Carouge succède celui de s’asseoir sur les chaises confortables de ce restaurant branché au design épuré. On peut s’y rendre aussi bien pour déguster une bière accompagnée de quelques spécialités à picorer que pour un délicieux repas japonais agrémenté de touches thaïlandaises et chinoises.
C’est aussi le plaisir de voir arriver moult petits plats sur la table et de partager ce petit voyage culinaire entre convives. Les dim sums à la vapeur restent une valeur sûre. On apprécié le contraste offert par les sushis au tartare de saumon en version «épicé-croustillant» et l’on se laisse séduire par les saveurs originales des rouleaux de printemps à la coriandre.
Le poulet teriyaki, en version nature ou en bao farci et cuit à la vapeur, fait l’unanimité: fondant, délicieux, il est enrobé d’une sauce bien relevée.
La palme revient au canard en sauce prune relevée de gingembre. Le bol de légumes sautés, légèrement croquants, a merveilleusement accompagné ce petit voyage et nous a permis de découvrir des saveurs différentes de celles rencontrées chez nos maraîchers. Les mochis, version sucrée fruitée des sushis, poursuivent agréablement le dépaysement.
Le service très cordial n’est pas toujours organisé.
Au plaisir de se balader dans les rues du vieux Carouge succède celui de s’asseoir sur les chaises confortables de ce restaurant branché au design épuré. On peut s’y rendre aussi bien pour déguster une bière accompagnée de quelques spécialités à picorer que pour un délicieux repas japonais agrémenté de touches thaïlandaises et chinoises.
C’est aussi le plaisir de voir arriver moult petits plats sur la table et de partager ce petit voyage culinaire entre convives. Les dim sums à la vapeur restent une valeur sûre. On apprécié le contraste offert par les sushis au tartare de saumon en version «épicé-croustillant» et l’on se laisse séduire par les saveurs originales des rouleaux de printemps à la coriandre.
Le poulet teriyaki, en version nature ou en bao farci et cuit à la vapeur, fait l’unanimité: fondant, délicieux, il est enrobé d’une sauce bien relevée.
La palme revient au canard en sauce prune relevée de gingembre. Le bol de légumes sautés, légèrement croquants, a merveilleusement accompagné ce petit voyage et nous a permis de découvrir des saveurs différentes de celles rencontrées chez nos maraîchers. Les mochis, version sucrée fruitée des sushis, poursuivent agréablement le dépaysement.
Le service très cordial n’est pas toujours organisé.